Généalogie de la famille Boland et Kubli


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Anne-Catherine WARRANT

F 1774 - 1855  (81 ans)


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Moins détail
Génération: 1

  1. 1.  Anne-Catherine WARRANT est née en 1774 (fille de Gaspar(d) WARRANT (WARLAND) et Anne-Jeanne WOITRIN); est morte en 1855.

    Anne-Catherine a épousé Henri LAMBILLON le 9 sept 1794 à Namur (St-Jean-Baptiste),5000,,,,Belgique. [Feuille familiale] [Tableau familial]

    Enfants:
    1. Elisabeth LAMBILLON est née en 1800; est morte en 1873.

Génération: 2

  1. 2.  Gaspar(d) WARRANT (WARLAND) (fils de Simon WARLAND).

    Notes:

    Reçu bourgeois de Namur le 9 juin 1767.

    Gaspar(d) a épousé Anne-Jeanne WOITRIN le 14 fév 1768 à Malonne,5020,,,,Belgique. Anne-Jeanne (fille de Claude WOITRIN et Anne PIERARD (PIERART)) a été baptisée le 19 oct 1741 à Yvoir,5530,,,,Belgique; est morte en 1804. [Feuille familiale] [Tableau familial]


  2. 3.  Anne-Jeanne WOITRIN a été baptisée le 19 oct 1741 à Yvoir,5530,,,,Belgique (fille de Claude WOITRIN et Anne PIERARD (PIERART)); est morte en 1804.

    Notes:

    Témoins :
    Gérard Finet & Anne-Jeanne Radu

    Anne-Jeanne Woitrin (Wetrin) (ex matre Stienon dans son acte de décès, où on lui donna pour mère sa grand-mère maternelle !).

    Enfants:
    1. 1. Anne-Catherine WARRANT est née en 1774; est morte en 1855.


Génération: 3

  1. 4.  Simon WARLAND

    Notes:

    Il relève de la bourgeoisie de Namur le 26 avril 1728 "comme fils de Jean, du serment des escrimeurs" (voir : Archives de l'Etat à Namur, Ville de Namur, nø 95, 922, 924 et 925).

    Enfants:
    1. 2. Gaspar(d) WARRANT (WARLAND)

  2. 6.  Claude WOITRIN a été baptisé le 17 août 1713 à Saint-Gérard,5640,,,,Belgique (fils de Gérard WOITRIN et Hélène DELTHOUR); est mort le 9 mars 1779 à Malonne,5020,,,,Belgique.

    Notes:

    Témoins :
    Claude Bourgeois & Marie-Anne Anciau

    Claude Woitrin (Wétrain, Wetrin, Wetrens, Wetrien, Wetrint), maŒtre serrurier et propriétaire d'une forge à Yvoir, sergent de ce lieu, propriétaire à Malonne d'une forge et de diverses maisonssises au lieu-dit "El may" et/ou "May Wetrin".

    Baptisé à Saint-Gérard le 17 août 1713, Claude Woitrin voit le jour dans une famille honorable comptant, du côté maternel notamment, des notables. Dès l'âge de dix-sept ans, ses parents lepréparent à devenir maŒtre-serrurier et propriétaire de forge.

    A dix-neuf ans, il effectue un stage chez le maŒtre serrurier La Chaussée à Liège* où il ne reste que six à sept mois, revenant au chevet de sa mère malade. Il poursuit alors ses stages dans leNamurois, à Yvoir, pendant un an, puis auprès du maŒtre Goffioul à Annevoie, là aussi pendant douze mois. Entre-temps, l'avenir de Claude Woitrin s'est dessiné. En 1734, il perd sa mère, àlaquelle il semble très attaché, et a vraisemblablement rencontré lors de son séjour à Yvoir celle qu'il épousera, et qui bientôt tracera les grandes lignes d'un avenir plutôt sombre : AnnePierard.

    Claude Woitrin termine son stage d'Annevoie pour en effectuer encore un de deux ans chez Romedenne (voir à son sujet : "La maréchalerie", in "Corporations de métiers à Namur au XVIIIe siècle",Bouge, 1998, p. 75 ; sur les Romedenne, voir entre autres : Hervé Douxchamps, "La famille de Fraipont d'Oultrecourt", in "Recueil" XL de l'O.G.H.B., Bruxelles, 1990, p. 171) à Saint-Gérard,après quoi il se marie. Moins de trois ans après son veuvage, son père s'est lui-même remarié, en 1737, avec Marie-Christine Istasse.

    Ayant acquis une forge à Yvoir, terre riche en maŒtres de forges (voir notamment : L. Willems et A. de Villegas, "Les usines de Moulins. La famille Jacquier de Rosée, maŒtres de forges", sanslieu ni date ), Claude Woitrin s'y installe avec son épouse. Aucun docment ne nous apprend si ce mariage a été accepté par Gérard Woitrin, son père, mais toutporte à croire que ce n'est pas le cas. C'est qu'en effet, si Anne Pierard appartient par sa mère à une ancienne famille du cru, elle jouit par son père d'une réputation peu flatteuse.

    Les Pierard, d'Yvoir, sont en effet connus dans le village pour avoir commis certaines indélicatesses dont ce n'est pas ici le propos de faire le détail. Installés en ce lieu, Claude Woitrin etsa jeune épouse y achètent aux Montpellier une maison et y donnent naissance, de 1739 à 1753, à huit enfants : quatre fils et quatre filles. La plus jeune est encore bébé lorsque l'orageéclate. Plusieurs membres de la famille Pierard ainsi que Claude Woitrin sont présumés s'être déguisés en ... récollets ... et avoir lancé à de paisibles passants ces mots déterminés : "labourse ou la vie !"

    Deux beaux-frères de Claude, propriétaires de bateaux, sont en outre accusés d'avoir tenté de couler la barque marchande de Sa Majesté vis-à-vis d'Anhée, barque qui concurrençait leursactivités batelières, dont il faut se rappeler l'importance capitale, à l'époque, sur le plan du transport de marchandises (voir à ce propos et notamment sur la "nef marchande", ChristianPhilippart, "En remontant la rivière Meuse de Ben-Ahin à Bouvignes de 1551 à 1789, un aperçu de la navigation", Wépion, 1998, 71 pages). Un long et pénible procès commence.

    Le 25 octobre 1754, le notaire Binamé, greffier et mayeur de la Cour d'Evrehailles (sur le notaire Henri Binamé (1714-1786), neveu de Madame Louis de Prouvy (Provis), née Marie Binamé (décédéeen 1733), sexta‹eule de Philippe-Edgar Detry, auteur des recherches sur les Woitrin, voir P.-E. Detry, "La famille Provis issue de Jean de Prouvy. Une lignée de géomètres-arpenteurs namuroisaux XVIIIe et XIXe siècles", in "Le Parchemin", 1997, p. 87), est chargé en vertu d'un décret de prises de corps d'annoter les biens de tous les intéressés alors que des témoignages tantôtnégatifs, tantôt positifs ne cessent de s'accumuler.

    Malgré le flou incontestable qui règne, la sentence est prononcée : Claude Woitrin est banni à perpétuité des terres de Sa Majesté. Il doit dès lors quitter le comté de Namur. L'émotion est, ons'en doute, vive.

    Le 9 mai 1755, son père et sa belle-mère s'adressent au procureur général afin de lui demander que le blâme demeure secret "afin de sauvegarder l'honneur de la famille". L'année suivante, les 3juillet et 25 novembre, c'est Anne Pierard, son épouse, qui demande à ce que son interdiction de séjour soit suspendue, précisant que son mari a autrefois été désigné comme sergent par lemayeur de Bouvignes, ce qui prouve sa probité, et qu'il a toujours vécu honorablement "aiant rempli (sic) ses devoirs tant pour le Spirituel que pour le Temporel", et qu'il a gagné beaucoupd'argent "commerçant notamment avec les Montpellier à Annevoie". Elle précise encore que cette situation a créé des jalousies et que "des esprits mauvais, envieux et jaloux ont conjuré sa perteen le rendant suspect".

    Elle joint à sa requête neuf attestations d'honorabilité. Rien n'y fait cependant. Aussi est-ce à quelques kilomètres des berges de la Meuse (un curieux retour de l'histoire veut que ClaudeWoitrin soit le trisa‹eul de l'abbé Constant Woitrin (1839-1885), vicaire-coadjuteur à Yvoir en 1873), mais en terre liégeoise - à Malonne exactement - que nous retrouvons alors Claude Woitrin,sa femme et ses enfants, en ce village réputé comme terre d'asile et qui accueillera notamment quelque vingt ans plus tard, dans sa fuite, Fabre d'Eglantine, lors de ses démêlés judiciairesliés à une aventure galante (voir : Georges Froidcourt, "Le procès de Fabre d'Eglantine devant le magistrat de Namur en 1777", Liège, 1941, p. 81 ; Th. Pisvin, "La vie intellectuelle à Namursous le régime autrichien", Louvain, 1963, p. 221. Toutefois comme le signale Georges Froidcourt, une ordonnance du 1er septembre 1738 prévoyait l'extradition du pays de Liège pour toutmalfaiteur accusé d'être assassin, voleur, incendiaire, brigand, etc. Ainsi Fabre d'Eglantine, accusé de "rapt de séduction" sur la personne de Catherine Desresmond, fut-il, alors qu'il secroyait en sécurité, arrêté à Malonne avec sa "victime", le 22 février 1777).

    Propriétaire à cet endroit d'une forge et construisant ou transformant sa maison au lieu-dit "El may", Claude Woitrin surmonte la porte d'entrée de sa demeure d'un cartouche, toujours visibleaujourd'hui et portant "C.W. 1763".

    Le 19 janvier 1763, Claude Woitrin, ses frères et soeurs, belle-mère et demi-frère et soeurs comparaissent devant la Cour de Brogne (Saint -Gérard) "afin d'assoupir diférens points dedifficultés qu'il y avoit entre eux". Les enfants de Gérard Woitrin se partagent alors différents biens composés de rentes, mais aussi de maison, grange, écurie, étables, jardin, prairies,trieu, césure, bois et terres situés à Saint-Gérard et provenant en grande partie de la famille Delthour : dans la campagne de Potron sur le chemin de Philippeville à Namur, dans la campagne dePraile, aux lieux-dits "Monsiat" près de la cense de la Falize, "Fonds du chêne" près des censes de Neffe et Montigny, "trieu à l'eau" et "Faulx" touchant au chemin de Saint-Gérard à Bioul(voir : Archives de l'Etat à Namur, Echevinages, nø 1444. Sur les biens laissés par Gérard Woitrin, voir encore : Archives de l'Etat à Namur, "Communes d'Ancien Régime, chassereau pour l'aidede la terre de Brogne", 1774, nø 435. Pour la toponymie des lieux évoqués, voir Abbé René Blouard, "Saint-Gérard de Brogne", in "Le Guetteur wallon", 1959, pp. 99-107). Dès le lendemain,Pierre-Paul, frère de Claude, qui a racheté à la succession la maison familiale, la revend à sa belle-mère. On apprend qu'elle est située sur la place de Saint-Gérard et que des dépendancestouchent à la cense de Mautroux (voir : Archives de l'Etat à Namur, Echevinages, nø 1444. Sur les biens laissés par Gérard Woitrin, voir encore : Archives de l'Etat à Namur, "Communes d'AncienRégime, chassereau pour l'aide de la terre de Brogne", 1774, nø 435. Pour la toponymie des lieux évoqués, voir Abbé René Blouard, "Saint-Gérard de Brogne", in "Le Guetteur wallon", 1959, pp.99-107). Il s'agit très probablement de la demeure ayant appartenu, dès 1688, à Pierre Delthour et Marie Gravier, grands-parents maternels de Claude Woitrin.

    Dès le 28 mars 1763, Claude Woitrin revend les terres héritées à Léonard Bechet, greffier de Brogne et Saint-Gérard (voir sur ce personnage, Madame Yves de Thomaz de Bossierre, "Les Thomaz deBossierre", p. 19).

    Le 8 août de cette année-là, par-devant les mêmes cours, comparaissent Claude Woitrin et sa belle-mère Marie Catherine Istasse, veuve de Gérard Woitrin, cette dernière déclarant "d'avoir admitainsy qu'elle fait par cette Claude Wetrin de résidence à Malonne de nous bien connu au retrait lignager de la maison, grange, écurie (...) pour ledit Claude Wetrin cy présent et acceptant parluy et ses enfants en jouir seulement au 20 de janvier de l'an prochain" (voir : Archives de l'Etat à Namur, Echevinages, nø 1444. Sur les biens laissés par Gérard Woitrin, voir encore :Archives de l'Etat à Namur, "Communes d'Ancien Régime, chassereau pour l'aide de la terre de Brogne", 1774, nø 435. Pour la toponymie des lieux évoqués, voir Abbé René Blouard, "Saint-Gérard deBrogne", in "Le Guetteur wallon", 1959, pp. 99-107).

    A peine, en janvier 1764, Claude Woitrin est-il en possession de la maison familiale qu'il la revend, dès le 21 février, à Dieudonné Dergo, cuisinier de l'abbaye de Saint-Gérard (voir sur cepersonnage, Madame Yves de Thomaz de Bossierre, "Les Thomaz de Bossierre", p. 19). Ainsi en est-ce fini d'une succession qui ne semble pas s'être faite sans difficultés.

    Claude Woitrin paraŒt avoir coulé, à Malonne, des jours heureux, endeuillés toutefois par la mort de son épouse en 1769. Le 7 mai 1770, il vend avec ses enfants une grange à Saint-Gérard aumême Dieudonné Dergo (voir : Archives de l'Etat à Namur, Echevinages, nø 1452).

    Se sentant vieillir, il se présente, le 7 décembre 1777, devant le notaire Destrée, greffier de Malonne, afin de partager ses biens, se réservant toutefois l'usufruit de terres et l'occupationde sa maison de résidence.

    Sept parts sont formées entre ses enfants et composées de deux maisons avec dépendances, d'une forge et de plusieurs terres, le tout formant un ensemble assez vaste désigné sous le vocable de"May Wetrin" (voir : Archives de l'Etat à Namur, Protocoles notariaux, nø 4353). Le lieu-dit porte aujourd'hui le nom de chemin "El may", la maison occupée par Claude Woitrin appartenant àMonsieur et Madame André Goffin, propriétaires de la librairie "Au Vieux Quartier", rue de la Croix à Namur. Voir aussi : M. Awoust, "L'habitat à Malonne en sortant de l'Ancien Régime", in"Bulletin du Cercle historique et archéologique de Malonne", nø 6, juin 1987, pp. 4-7 ; M. Awoust, "Malonne, pays de Liège", Malonne, 1988, p. 271 (où en 1820 encore, on parle de "Méz desWetrin").

    Claude Woitrin s'éteint deux ans plus tard laissant une descendance nombreuse, alliée à la bourgeoisie rurale puis namuroise, sans que la sentence dont il avait fait l'objet n'ait porté,semble-t-il, de préjudice à l'établissement de ses enfants.



    * Comme le souligne Bernard Wodon, il faut entendre par "serrurerie" l'ensemble de la production en fer forgé liée à la notion de clôture (grilles, garde-corps, rampes, etc.), et dans laquelleLiège excellait. La région de Fosses, voisine de Saint-Gérard, était quant à elle aussi réputée. Voir : Bernard Wodon, "La serrurerie monumentale liégeoise au XVIIIe siècle", in "Actes duCongrès d'histoire de Namur", Namur, 1988, p. 282.

    Les renseignements liés à la vie de Claude Woitrin sont extraits du dossier de son procès. Voir : Archives de l'Etat à Namur, Conseil provincial, correspondance, liasse nø 162, Procès à chargedes particuliers, nø 3404, 3408, 5109, et Echevinages d'Yvoir, nø 8427 ; voir aussi sur la condition judiciaire, "Les annales de la Société archéologique de Namur", tome 72, Namur, 1998.

    Claude a épousé Anne PIERARD (PIERART). Anne (fille de Philippe PIERARD (PIERART) et Anne STIENON) a été baptisée le 18 juil 1713 à Yvoir,5530,,,,Belgique; est morte le 19 nov 1769 à Malonne,5020,,,,Belgique. [Feuille familiale] [Tableau familial]


  3. 7.  Anne PIERARD (PIERART) a été baptisée le 18 juil 1713 à Yvoir,5530,,,,Belgique (fille de Philippe PIERARD (PIERART) et Anne STIENON); est morte le 19 nov 1769 à Malonne,5020,,,,Belgique.

    Notes:

    Témoins :
    Pierart & Anne Stienon

    Enfants:
    1. Claude Joseph WOITRIN a été baptisé le 5 oct 1739 à Yvoir,5530,,,,Belgique.
    2. 3. Anne-Jeanne WOITRIN a été baptisée le 19 oct 1741 à Yvoir,5530,,,,Belgique; est morte en 1804.
    3. Joseph Henri WOITRIN a été baptisé le 10 nov 1743 à Yvoir,5530,,,,Belgique; est mort le 17 avr 1813 à Malonne,5020,,,,Belgique.
    4. Jean Joseph WOITRIN a été baptisé le 10 oct 1745 à Yvoir,5530,,,,Belgique; est mort le 17 déc 1747.
    5. Marie-Thérèse WOITRIN a été baptisée le 18 oct 1747 à Yvoir,5530,,,,Belgique.
    6. Jean François Joseph WOITRIN a été baptisé le 28 août 1749 à Yvoir,5530,,,,Belgique.
    7. Jeanne Catherine WOITRIN a été baptisée le 19 sept 1751 à Yvoir,5530,,,,Belgique.
    8. Marie-Joseph WOITRIN a été baptisée le 25 oct 1753 à Yvoir,5530,,,,Belgique.


Génération: 4

  1. 12.  Gérard WOITRIN a été baptisé vers 1685; est mort le 23 nov 1762 à Saint-Gérard,5640,,,,Belgique.

    Notes:

    Variantes du patronyme : Wétrain, Wetrin, Wétraind, Woetrin, Woitrind, Woitrens, Wettren, Wetrins, Wetren, Woietren, Woitrent.

    Propriétaire d'immeubles sur la place de Saint-Gérard, dont une demeure à l'enseigne "Le mouton blanc", ainsi que de diverses terres en ce lieu.

    Gérard a épousé Hélène DELTHOUR le 1 fév 1711 à Saint-Gérard,5640,,,,Belgique. Hélène (fille de Pierre DELTHOUR et Marie GRAVIER (GRAVY)) a été baptisée le 4 nov 1686 à Saint-Gérard,5640,,,,Belgique; est morte le 21 sept 1734 à Saint-Gérard,5640,,,,Belgique. [Feuille familiale] [Tableau familial]


  2. 13.  Hélène DELTHOUR a été baptisée le 4 nov 1686 à Saint-Gérard,5640,,,,Belgique (fille de Pierre DELTHOUR et Marie GRAVIER (GRAVY)); est morte le 21 sept 1734 à Saint-Gérard,5640,,,,Belgique.

    Notes:

    Témoins :
    Delthoure & Lambion

    Variantes du patronyme : del Tour, del Thour, Deltour.

    Notes:

    Témoins :
    Guillaume Deltour & Corneil-Louis Martin

    Enfants:
    1. Michel WOITRIN a été baptisé le 15 nov 1711 à Saint-Gérard,5640,,,,Belgique.
    2. 6. Claude WOITRIN a été baptisé le 17 août 1713 à Saint-Gérard,5640,,,,Belgique; est mort le 9 mars 1779 à Malonne,5020,,,,Belgique.
    3. Gilles Joseph WOITRIN a été baptisé le 6 déc 1715 à Saint-Gérard,5640,,,,Belgique.
    4. Pierre-Joseph dit Pierre-Paul WOITRIN a été baptisé le 10 déc 1717 à Saint-Gérard,5640,,,,Belgique.
    5. Jean-Jacques WOITRIN a été baptisé le 25 juin 1719 à Saint-Gérard,5640,,,,Belgique.
    6. Gérard WOITRIN a été baptisé le 12 mars 1721 à Saint-Gérard,5640,,,,Belgique.
    7. Marie-Anne Josèphe WOITRIN a été baptisée le 12 août 1723 à Saint-Gérard,5640,,,,Belgique.
    8. Anne-Marie WOITRIN a été baptisée le 21 déc 1729 à Saint-Gérard,5640,,,,Belgique.

  3. 14.  Philippe PIERARD (PIERART)

    Philippe a épousé Anne STIENON. [Feuille familiale] [Tableau familial]


  4. 15.  Anne STIENON

    Notes:

    Origine du patronyme Stienon - Famille ancienne à Yvoir, alliée notamment aux Gendebien et aux Purnode. Guillaume Stienon (1653-1737) est mayeur d'Evrehailles en 1733. Voir : Yvonne Lados vander Mersch, "Les ascendants du chevalier Ado Malevez", in "Recueil" XXIII de l'O.G.H.B. (Office Généalogique et Héraldique de Belgique), Bruxelles, 1975, pp. 59-60 ; Marc Belvaux, "La famillede Purnode", in "Le Parchemin", 1997, p. 246.

    Enfants:
    1. 7. Anne PIERARD (PIERART) a été baptisée le 18 juil 1713 à Yvoir,5530,,,,Belgique; est morte le 19 nov 1769 à Malonne,5020,,,,Belgique.



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