Notes

Généalogie de la famille Boland et Kubli

Résultats 551 à 600 de 1,197

#	Notes	Lié à
551	Docteur en médecine UCL (Université catholique de Louvain). Hobbies : jardinage, histoire, musique	WOITRIN, Bernard Luc Louis André Ghislain (I967)
552	Docteur en Sciences Chimiques, il tenait une pharmacie avenue de la Chevalerie 22 à Bruxelles.	TRAMASURE, Maurice (I1493)
553	Docteur en sociologie UCL (Université catholique de Louvain), professeur titulaire à l'Université de Guanajuato (Mexique), doyen de l'Ecole de philosophie, lettres et histoire de l'Universitéde Guanajuato, conseiller électoral de l'Institut fédéral électoral pour l'Etat de Guanajuato, membre du Système national des électeurs, membre du conseil d'administration de la "fundacionecologica Oikos" (Vénézuela), membre du conseil de l'Etat de Guanajuato pour le développement humain, coordinateur pour la région du centre du pays du comité des sciences humaines et socialesdu Conseil national des sciences et de la technologie (Mexique), secrétaire d'Etat pour la population (Etat de Guanajuato). Hobby : lecture	MACIAS GARCIA, Luis Fernando (I926)
554	Document papier	Source (S2)
555	Document papier	Source (S4)
556	Dont descendance à Namur.	Famille F985
557	Dont descendance dans deux générations de notaires, rue Godefroid à Namur.	Famille F946
558	Dont descendance dans les familles Dethier à Namur, Turlot et Rose à Bruxelles.	Famille F924
559	Dont descendance, depuis lors française.	Famille F926
560	Echevin de Charleroi.	DEWANDRE, Franz (I2352)
561	Ecuyer, ingénieur agricole. Origine du patronyme Dumont de Chassart Ñ Brabant wallon, 18e siècle, anoblis en 1906, adjonction du nom "de Chassart" en 1908, titre de baron pour l'aŒné en 1962 : "d'or à la fasce de gueules,chargée d'un éperon d'argent, la molette à senestre, et accompagnée de trois feuilles de trèfle au naturel".	DUMONT de CHASSART, Didier Léopold François (I974)
562	Ecuyer, licencié en droit UCL (Université catholique de Louvain), licencié en droit social ULB (Université libre de Bruxelles). Hobbies : voile, lecture Origine du patronyme Timmermans - famille originaire de Zellik où elle exploitait les grandes entreprises agricoles de l'abbaye de Saint-Bavon de Gand. Voir : P. de Bounam de Rijckholt et G. deHemptinne, "Lettres de noblesse", p. 267 ; "Le Parchemin", 1996, pp. 309-310.	TIMMERMANS, Paul-Emile Jean-Pierre Gaëtan Marie Joseph L. (I951)
563	Ecuyer, licencié en sciences économiques appliquées UCL (Université catholique de Louvain), lauréat du Prix du ministre du Commerce extérieur (ambassade de Belgique à Caracas - Vénézuela),cadre de banque. Hobbies : planche à voile, tennis, ski	WOITRIN, Emmanuel Jean Marie Ghislain (I923)
564	Ecuyer, licencié en sciences économiques UCL (Université catholique de Louvain), baccalauréat en philosophie UCL, agrégé de l'enseignement supérieur en sciences commerciales UCL. Hobbies : jogging, vélo	WOITRIN, Luc Henri Pierre Louis Marie Ghislain (I924)
565	Ecuyer, licencié et maŒtre en sciences économiques et sociales des FUNDPN (Facultés Universitaires Notre-Dame de la Paix à Namur). Hobbies : échecs, vélo Origine du patronyme Struye de Swielande - voir : "Etat présent de la Noblesse du Royaume de Belgique", Bruxelles, 1981, p. 319.	STRUYE de SWIELANDE, Eric André Robert Marie Ghislain (I964)
566	Ecuyer, officier de l'ordre de la Couronne, chevalier de l'ordre de Léopold.	STRUYE de SWIELANDE, Antoine Charles Marie Joseph Hubert Ghislain (I2099)
567	Ecuyer.	de QUIRINI, Jean-Marie Joseph François (I2106)
568	Elle a écrit une notice biographique de sa grand-mère maternelle Philippine Thérèse Crousse.	CLOQUET, Louise Antoinette (I731)
569	Elle a eu 7 enfants dont 4 sont morts en bas âge.	DEMEULDER, Mathilde (I1750)
570	Elle aurait été une des soeurs de Marie-Anne Ramboux. Elle aurait été une personne contrefaite qui habita la ferme du Môle et gardait la maison. Elle vécut retirée à la ferme du Môle et y mourut célibataire.	RAMBOUX, Euphrosine (I1392)
571	Elle avait repris le commerce de Fanny De Smet, rue de l'Empereur à Bruxelles. C'était une personne distinguée. Elle est décédée célibataire.	LAMBOTTE, Anne-Marie (I1576)
572	Elle devint Religieuse et fut l'aŒnée (??) des enfants de Pierre François Crousse et Marie Thérèse Derbaix. Entrée au Béguinage de Nivelles le 28 septembre 1811, professe en 1815, elle renouvela ses voeux au Grand Béguinage de Louvain le 25 mars 1858. Elle fit son jubilé de 52 ans à Châtelet en 1847chez les Soeurs de Marie.	CROUSSE, Julie (I1646)
573	Elle épousa en secondes noces Gillion de Trazegnies parti pour la Croisade en Palestine.	, Graciane (I1457)
574	Elle est décédée à Braine-l'Alleud après la suppression des couvents.	DIESBECQ, Anne Thérèse (I1616)
575	Elle est décédée au presbytère de Tubize.	DERBAIX, Marie-Cécile (I1557)
576	Elle est décédée célibataire.	DERBAIX, Joséphine-Alexandre (I1581)
577	Elle est née à Saint-Josse-ten-Noode (Bruxelles) le 1er juillet 1882, rue Cornet de Grez, petite rue donnant dans la rue Royale, non loin de l'église Sainte-Marie. D'un esprit vif et d'un caractère enjoué, elle faisait la joie de ses parents. Sa soeur cadette et elle-même mettaient, par leurs espiègleries, une note de jeunesse dans la vie familiale. Après ses études moyennes chez les Dames de Marie, ses parents la placèrent en pension pendant deux ans à l'English Covent de Brugge (Bruges). Elle fit encore un an d'école ménagère en Allemagne. Partout, elle se fit de bonnes amies. La voilà charmante et belle jeune fille, cultivée, pieuse et enjouée, celle qui fit s'enflammer le coeur d'Albert Marchand, son époux. Cousine par sa mère de Monseigneur Mercier, celui qui allait devenir Cardinal, elle avait à son acquit toutes les qualités qu'une jeune fille doit avoir. Son caractère gai et équilibré lui valait bien des attentions dans les fêtes de jeunesse, mais elle était décidée à n'accepter comme futur compagnon de sa vie qu'un jeune homme de conduite irréprochable et possédant de grandes qualités de coeur et d'esprit.	de CONINCK, Louise Marie Mathilde (I251)
578	Elle est née en octobre 1780. Elle est décédée au Béguinage de Nivelles où elle avait pris le voile le 14 octobre 1809.	CROUSSE, Isabelle Norbertine (I1782)
579	Elle est revenue habiter à Braine-l'Alleud avec sa soeur Anne Thérèse, après la suppression des couvents.	DIESBECQ, Jeanne Catherine (I1619)
580	Elle était une maŒtresse de maison parfaite et aimait une vie ordonnée et régulière. Elle recevait régulièrement ses enfants et petits-enfants et les délicieux dŒners étaient très animés etjoyeux. Son frère Jules était très loquace et la faisait bien rire par ses calembours. Très pieuse et charitable, elle s'intéressait à plusieurs bonnes oeuvres.	MERCIER, Marie-Thérèse (Maria) (I254)
581	Elle fit son éducation à Alsemberg. Elle fut à la ferme Mon Souhait l'aide active et intelligente de sa mère dans les soins du ménage et en même temps de son père dans la tenue des affaires.Pleine de sollicitude pour les intérêts de toute la famille, elle était mieux que tout autre personne de notre parenté au courant des antécédents, des alliances, des affiliations, des positionsde tout un chacun. C'est d'elle que nous tenons la plus grande partie de notre documentation sur les lignes des Crousse, Ramboux, Derbaix, Wauthier, etc. Elle a consacré sa vie à ses parents jusque dans leur retraite de Nivelles. Après leur mort, elle habita avec sa soeur Camille une modeste maison de la rue de Charleroi au nø 71.	CLOQUET, Elise Marie Philippine Ghislain (I1402)
582	Elle fit son éducation au pensionnat des Soeurs Religieuses de Braine, puis après avoir passé quelques années à la maison paternelle, elle entra en religion chez les Soeurs Notre-Dame à Namur.Elle passa au mois de mars 1871 à la Maison du Nouveau Bois à Gand. Après un essai, elle rentra dans sa famille et passa deux ans à Feluy près de son oncle médecin. Intelligente et vaillante de caractère, elle était dévouée à tous ses parents. Après avoir vécu près de ses parents jusquà leur mort, elle se retira avec sa soeur Elise dans la petite maison dela rue de Charleroi au nø 71.	CLOQUET, Camille Thérèse Marie (I1418)
583	Elle fonda une bourse d'études en 1856 (bourse Crousse-Stevens) en faveur de ses parents, les moins aisés.	STEVENS, Marie Antoinette Julie (I1800)
584	Elle fut demoiselle de magasin chez d'Artevelde, rue de la Madeleine à Bruxelles, puis s'établit à son compte en commerce de lingerie avec sa soeur Marie, rue de l'Ecuyer à Bruxelles. C'était une fille vaillante, d'une piété vive et éclairée, d'un courage extraordinaire. Une de ses amies étant tombée dans le dénouement et la maladie, elle la soutint et la soigna avec unadmirable dévouement.	LATINIS, Elise (I1764)
585	Elle fut demoiselle de magasin chez Equipart, rue Saint-Jean à Bruxelles, puis associée à sa soeur Elise. Elle lui survécut peu d'années et décéda en janvier 1915.	LATINIS, Marie (I1777)
586	Elle fut élevée à la ferme de son père, Bourgmestre d'Houtain. Pendant que celui-ci était obligé de se cacher pour se soustraire aux poursuites des révolutionnaires français, elle remplissaiten partie les fonctions de Bourgmestre : rédigeant les actes, tenant les écritures, montant à cheval pour diriger les travaux de ferme, chassant dans les bois les bestiaux, portant desprovisions à son père et aux autres fugitifs. Elle désirait entrer parmi les Chanoinesses à Nivelles, mais disait-elle, elle "pouvait fournir des quartiers d'avoine mais pas les quartiers de noblesse requis". Devenue veuve, Marie Thérèse Crousse se fixa à Nivelles, rue de Charleroi. Elle s'occupa activement de l'Institut de l'Enfant Jésus avec sa fille Justine - en religion Soeur Gertrude - avec quielle l'avait fondé et qui en fut la Supérieure. Elle prit sa retraite dans la petite aile dite du "Sacré Coeur" de ce couvent. Frappée d'apoplexie à la suite d'une chute, elle resta trois ans dans un état presque inconscient et mourut vers1845. On conserve au couvent de Nivelles un portrait sur toile qui la représente sur son lit de mort.	CROUSSE, Marie Thérèse Ghislaine (I1778)
587	Elle fut en pension au Couvent de l'Arbre Bénit à Bruxelles. C'était une personne particulièrement sympathique, gracieuse de traits, aimable de caractère et d'esprit sérieux, musicienne etdouée d'une belle voix. Elle embellissait par ses prévenances et son talent les réunions de famille. Elle fut une fermière accomplie qui obtint des distinctions flatteuses dans les concours entre fermières. Hortense mourut en 1907.	CLOQUET, Hortense Eugénie Ghislaine (I1419)
588	Elle fut en pension chez les Soeurs de Notre-Dame à Jumet puis à Namur. Au retour du pensionnat, elle habita avec sa soeur Philippine chez sa mère veuve retirée à Rêves. Elle épousa le 3 août 1842 le Docteur Norbert Cloquet. Le dŒner de noces réunit 40 convives. Le voyage de noces se fit sur les bords du Rhin. Marie-Thérèse Wauthier habita avec son mari levillage de Feluy. Fille de fermier, elle aimait les travaux champêtres; elle se plut à entretenir une basse-cour, à élever quelques vaches. L'industrie des carrières exploitées par son marinécessita quelques chevaux; elle fut ainsi pendant quelques années à la tête d'une quasi ferme, ayant des pâtures, présidant volonters à la fenaison. Vaillante et charitable, elle secourait lesmalades pauvres soignés par son mari, leur portant des douceurs, leur préparant des crèmes, les réconfortant par ses visites. Elle soutint courageusement son époux au cours de ses revers defortunes. Elle eût le bonheur de garder sa mère près d'elle pendant de longues années. La cruelle maladie de son cher époux fut pour elle une terrible épreuve. Après la mort de celui-ci, elle séjourna encore quelques années à Feluy. En 1894, elle fit une chute dans la descente decave qui lui causa une luxation du fémur. Elle mit des mois à se guérir, fut en danger de mort, souffrit avec le plus grand courage et demeura boŒteuse. Après avoir vendu les collectionsamassées par le Docteur Cloquet et vendu sa chère maison, elle quitta le village tant aimé de Feluy pour rejoindre sa fille et compagne Henriette ainsi que ses trois autres filles à Tournai, oùelle habita une petite maison du boulevard Léopold. Elle y passa quelques années paisibles et y mourut d'une pneumonie. Elle s'éteignit doucement, consciente de sa fin, dans des sentiments derésignation chrétienne admirables, assistée du père Kaisin, Rédemptoriste, son confesseur de choix. A ses derniers moments, elle était très présente et heureuse d'entrer dans la vie éternelle.Ses enfants et petits enfants étaient réunis autour d'elle; elle les a tous bénis tour à tour sans oublier les absents et en particulier sa fille religieuse. Elle décèdera le 13 mars 1904 àTournai. Son corps a été reconduit à Feluy où il repose à côté de son mari.	WAUTHIER, Marie-Thérèse (I706)
589	Elle fut Supérieure de la Congrégation du Saint Joseph et directrice de l'école communale des filles à Braine	DERBAIX, Marie-Catherine Ghislaine (I1579)
590	Elle fut toute sa vie durant la gardienne de la maison paternelle du Môle. Elle était dévouée aux siens et quand l'un ou l'autre du dehors était malade, elle accourait pour offrir ses soins.Elle vivait dans sa ferme comme dans une retraite et était d'humeur égale et joviale. Elle est restée célibataire.	CLOQUET, Antoinette Désirée Ghislaine (I1399)
591	Elle résidait à Sart-Moulin et est décédée sans enfant.	RAMBOUX, Anne-Thérèse (I1388)
592	Elle resta veuve avec un fils qui mourut jeune.	WAUTHIER, Catherine (I1640)
593	Elle se marie en premières noces à Monsieur Diesbecq et en secondes noces à Daniel Jamin.	BERTRAND, Marie (I1591)
594	Elle serait née entre 1808 et 1814,c'est-à-dire après son frère Jean Baptiste né en 1808 et son autre frère Philippe Alexandre, lui-même né entre 1808 et 1814 et mort à l'âge de 2 mois. Elle est morte en bas âge.	CLOQUET, Elise (I1393)
595	Elle serait originaire d'Assesse.	MARCHANT, Marie Catherine (I3573)
596	Elle serait originaire de Braine-le-Château.	CULLUS, Marie-Thérèse (I1863)
597	En 1793, les seuls survivants héritiers d'Adrien Joseph Diesbecq et Jeanne Catherine Pigeolet étaient : - Marie Joseph Diesbecq, épouse de Martin Derbaix - Adrien Joseph Diesbecq - sans enfant - Marie-Anne Diesbecq - célibataire - Philippe Hubert Diesbecq - curé à Ophain Ces trois derniers sans postérité. Ce sont les enfants de Martin Derbaix et Marie Joseph Diesbecq qui représentaient seuls la famille Diesbecq, la branche masculine de la famille Diesbecq étant éteinte.	Famille F649
598	Enrôlé dans la garde de Napoléon à cause de sa belle taille, il fit au moment de l'incorporation une chute de cheval presque mortelle qui l'exempta du service militaire. Caractère bienveillant, esprit distingué, il avait un intérieur digne et sympathique. Peu de temps avant sa mort, se promenant en voiture avec sa soeur Louise en vacances chez lui, il rappelaitles beaux voyages qu'il avait fait dans sa vie et ajoutait : "Je voudrais maintenant faire un dernier voyage après tous les autres. C'est le voyage du ciel." Il habita une villa entourée d'untrès beau jardin.	CROUSSE, Nicolas Jérôme (I1648)
599	Epouse en premières noces de Siméon Ghislain Cloquet.	ROUSSEAU, Fortunée (I1877)
600	Epouse en secondes noces de Charles Boucquéau. Etait originaire de Nivelles.	PHILIPPE, Flore (I1405)

Géré par Michael Boland.