Généalogie de la famille Boland et Kubli


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1051 Resté célibataire. VAN ROIE, Félix (I703)
 
1052 Resté célibataire. WAUTHIER, Isidore Melchior (I1626)
 
1053 Resté célibataire. CROUSSE, Joseph Antoine (I1708)
 
1054 Resté célibataire. CROUSSE, Jérôme Antoine (I1709)
 
1055 Restée célibataire, elle habita à Ways un petit manoir prieural proche de l'église, bordant la rivière, qui comprenait un corps de logis flanqué d'une tourelle, avec une grande salle de classeet une chapelle domestique. A l'extrémité du jardin, en bordure du chemin de fer de Mons à Wavre, elle avait fait ériger une patite chapelle où l'on venait prier à l'intention des voyageurs.C'était au début de l'usage du chemin de fer, alors que le peuple était encore impressionné d'un voyage sur rails comme d'une entreprise non exempte de danger.
Marie Hyacinthe menait là une vie austère, une vie d'ermite. Elle s'était attachée deux religieuses de l'Enfant Jésus de Nivelles envoyées par sa nièce Justine Desbille. Ces religieusestenaient classe pour les enfants du village et l'aidaient dans ces visites de charité.
En mourant, elle exprima le désir de se voir remplacée dans son ermitage par sa soeur Philippine, qui remplit ce voeu.

Un document stipule qu'elle serait décédée en 1858. 
CROUSSE, Marie Hyacinthe (I1779)
 
1056 Restée célibataire. CLOQUET, Henriette Marie (I730)
 
1057 Restée célibataire. DERBAIX, Hélo‹se Marie Ghislaine (I1587)
 
1058 Restée célibataire. COLLART, Elisabeth (I1720)
 
1059 S'il est effectivement né en 1726, cela voudrait dire que son fils Martin est né alors que son père Philippe étai âgé de 12 ans (??).
Il s'établit à la ferme de la Tour à Ittre.
Philippe Derbaix ou ses frères (??) paraissent avoir eu pour descendants :
1ø. une religieuse Apostoline à Bruxelles
2ø. Claude Derbaix, fermier à Monbecq près d'Ath (ferme du Moulin)
3ø. un Monsieur Derbaix qui aurait tenu la ferme de la Tour à Ittre et dont la fille aurait épousé un Monsieur Massart dont à son tour elle aurait eu une fille mariée à un Monsieur Dehaes.
4ø. une Madame Derbaix mariée à un Monsieur Wilputte, fermier du Mont à Haut-Ittre, morte sans enfant. 
DERBAIX, Philippe (I1359)
 
1060 S'il s'avère vrai qu'elle est effectivement née en 1740, cela voudrait dire qu'elle aurait accouché de sa fille Marie-Thérèse Derbaix à l'âge de 10 ans (??). BERTRAND, Anne Marie Thérèse (I1382)
 
1061 Sa première femme - Norbertine Bernardine Cloquet - mourut en mettant au monde un enfant qui ne survécut pas non plus.
S'est remarié en secondes noces à Flore Philippe originaire de Nivelles.
Charles avait un frère - Achille - resté célibataire et ami d'Emile Cloquet. 
BOUCQUÉAU, Charles (I1404)
 
1062 Sa quadrisa‹eule n'est autre que la comtesse Louis-Désiré de Looz Corswarem née Désirée-Jeanne Guyot (1848-1903). PIRMEZ, Nicolas (I2267)
 
1063 Sa soeur était mariée à Monsieur Glibert, fermier à Thines. BAUTHIER, Henriette (I1831)
 
1064 Sans alliance.

Par arrêté royal du 7 mars 1935, la commission d'Assistance publique de Namur est autorisée à accepter un legs d'immeubles d'une valeur de deux cents quarante mille francs et des biens meublespour quarante-quatre mille cinq cents francs, accordés par Juliette Woitrin.

En reconnaissance, son nom figure sur une plaque de marbre apposée sur la façade de l'hospice Saint-Gilles à Namur, dont son frère Constant a été aumônier, plaque aujourd'hui disparue de cetimmeuble, reconverti en Parlement wallon. 
WOITRIN, Marie Julienne Antoinette dite Juliette (I2226)
 
1065 Sans alliance.

Thérèse Woitrin, à moins qu'il ne s'agisse de sa soeur Juliette, figure parmi les clients de l'agent de change namurois Georges Devaux (voir : P.-E. Detry, "Georges Devaux (1869-1932), agent dechange à Namur en 1900", in "Le Parchemin", 2000, pp. 211-221). 
WOITRIN, Thérèse Marie Antoinette Ghislaine (I2204)
 
1066 Sans alliance. WOITRIN, Monique Marie Josèphe Ghislaine (I917)
 
1067 Sans alliance. GOFFAERTS, Marie-Cécile (I2098)
 
1068 Sans alliance. WOITRIN, Stéphanie Marie-Josèphe (I2205)
 
1069 Sans alliance. Propriétaire d'une galerie d'art.

A la mort d'Aloys père, la Maison Woitrin est alors gérée par Aloys junior qui, membre du Cercle catholique et de l'Emulation (voir : F. Golenvaux, "L'Emulation 1882-1907", p. 250), conserveune belle clientèle. En 1907, il est possible de s'y procurer les cartes d'entrée pour le concert, le 22 janvier, des oeuvres de Botrel (deux, trois et cinq francs belges la place), notammenten réservant par téléphone au nø 312 (voir : archives de P.-E. Detry) ; sont aussi disponibles les "Maximes pieuses glanées dans les écrits de la bienheureuse Julie Billiart", sorties de pressele 2 février 1909 ainsi que "Le manuel de la Confession", par l'auteur du "Secret des communions ferventes", et les cartes d'inscription à "l'Association catholique internationale des oeuvresde protection de la jeune fille", diffusées en décembre 1913. Malgré le caractère extrêmement respectueux et conventionnel des productions de la Maison Woitrin, l'humour est parfois aurendez-vous tel en ce "Guide officiel des voyageurs vers l'enfer", qui précise notamment "départ : l'âge de raison ; arrivée : à toute heure", alors que son pendant "Indications pour lesvoyageurs se dirigeant vers le paradis" mentionne "départ : à toute heure ; arrivée : quand il plaŒt à Dieu" ! (voir : Archives du Musée en Piconrue à Bastogne)

Des témoignages émouvants sont ceux de la "Prière à la Très Sainte Vierge" (septante-cinq centimes le cent), imprimée le 12 septembre 1914 et marquée "Imprimerie Woitrin, rue de l'Ange, Namur"(collection de Monsieur et Madame André Goffin, librairie "Au Vieux Quartier" à Namur (voir note sur Claude Woitrin) ; la mention "rue de l'Ange" qui figure sur cette image pieuse correspond enfait à la maison Woitrin, Grand-Place, détruite depuis lors mais vivante au coeur des Namurois, les deux maisons Woitrin se trouvant dans la portion de la Grand-Place aujourd'hui appelée "rueMarchovelette" mais alors nommée indifféremment "Grand-Place" ou "rue de l'Ange", dont elle est le prolongement), et de la "Prière à la Très Sainte Vierge Marie pour obtenir le salut de laPatrie" (archives de Philippe-Edgar Detry), imprimée le 21 septembre 1914 et portant "Imprimerie A. Woitrin, rues de l'Ange et Mathieu, Namur (cinquante centimes le cent)" ; car, fin août, laGrand-Place de Namur a été incendiée par les Allemands et les deux belles maisons Woirin, fleurons du patrimoine architectural namurois des XVIIe et XVIIIe siècles, sont entièrement détruites,de même, d'ailleurs, que toutes les maisons voisines (voir à ce sujet : Chanoine J. Schmitz et Dom N. Nieuwland, "Documents pour servir à l'invasion allemande dans les provinces de Namur et deLuxembourg", tome 2, p. 330 ; F. Gollenvaux, "Les premiers jours de la guerre à Namur. Août 1914", Namur, 1935 ; Ph. Jacquet et Fr. Jacquet-Ladrier, "La vie à Namur au temps du Roi Albert", p.208 ; Emile Detry (1858-1914), cousin d'Aloys Woitrin et bisa‹eul de Philippe-Edgar Detry, fut blessé le 23 août 1914 à quelques pas de là, sur le pont de Sambre, alors qu'il s'inquiétait del'état d'une demeure lui appartenant rue du Pont, elle aussi totalement sinistrée. Il mourut à Namur trois jours plus tard, le 26 août 1914). Les pertes sont considérables car rien n'a pu êtresauvé à l'exception des presses conservées place Pied-du-Château. Avec foi et courage, Madame Aloys Woitrin et son fils Aloys se procurent les articles nécessaires et ouvrent, un mois plustard, une nouvelle "imprimerie-lithographie, librairie papeterie" au nø 4 de la rue Mathieu, à proximité de la gare, et voisine du négoce de vins réputé de Franz Wodon, alors que tous deux,ainsi que Marie Woitrin, s'installent à l'hôtel du Chemin de fer !

De cette époque datent des cartes postales de la chapelle des Remparts et des bulletins scolaires hebdomadaires de l'Institut Saint-Louis à Namur, imprimés par la Maison qui assure encore cettetâche quinze ans plus tard, pour l'année scolaire 1930-1931(voir : Archives de Philippe-Edgar Detry). Aloys est toujours domicilié à l'hôtel, lorsqu'il adresse, le 22 mai 1917, une commande àla Maison Dessain, de Liège, avec laquelle il est régulièrement en affaires, la priant de lui réserver deux ouvrages de morale chrétienne : "Ce que les fiancés et les époux doivent savoir" et"Le bonheur des familles".

Le 28 mars 1918, la maison Woitrin imprime un livret portant "Chants et musique pour la scala grégorienne", ensemble de tableaux composés de récitatifs par Mademoiselle de Zualart, et deschants par diverses jeunes filles namuroises dont Monique et Ghislaine Woitrin et leur cousine, Marie-Jeanne Cajot (Madame Attout).

La même année, la Maison édite enccore "Marie, reine du foyer", par le Révérend Père Léon Hermant. Elle se propose aussi pour l' "exécution sur commande de toute vue ou travail demandé enDinanderie" (voir : "Bibliothèques namuroises", p. 68 ; "Le travail de la dinanderie. Un atelier à Namur. Avec historique des dinanderies", imprimerie A. Woitrin, Namur ). Les hostilités passées, les activités peuvent renaŒtre vraiment. Une galerie d'art (voir : P. Jacquet et F. Jacquet-Ladrier, "La vie à Namur au temps du Roi Albert", p.111), d'oeuvres à caractère religieux, est adjointe à la librairie, qui est dorénavant connue à Namur sous le nom de "Librairie eucharistique" (l'image pieuse, datée du 5 août 1924, de"Promesses de la Sainte Vierge à Saint Dominique et au Bienheureux Alain en faveur de la dévotion au rosaire", conservée dans les archives de Philippe-Edgar Detry, est marquée "LibrairieEucharistique A. Woitrin, Namur"). L'imprimerie est toujours très active, travaillant notamment pour le collège Notre-Dame de la Paix, comme en ce 28 juillet 1922 où s'imprime chez Woitrin leprogramme de la "séance intime offerte par messieurs les élèves de 4e latine B à l'occasion de la fête du R.P. Barbier" ou enore le souvenir de la retraite donnée par le R.P. Cossé, s.j., auPensionnat Notre-Dame à Namur, du 2 au 6 novembre 1925.

Marie Woitrin, soeur d'Aloys, l'aide beaucoup dans cette tâche, et s'occupe notamment du département "prêt de livres", car la Maison remplit également le rôle de bibliothèque. L'année 1924 estmarquée par le décès, le 27 mai, de Madame Aloys Woitrin, âgée de septante-sept ans.

En 1929, la Maison Woitrin imprime "Les pensées pieuses glanées dans les écrits de Sainte-Thérèse de l'Enfant Jésus" ; elle reproduit une vue de la chapelle des Buissonnets à la Citadelle etprécise qu'il existe "une version en flamand" (collection de Monsieur et Madame André Goffin, librairie "Au Vieux Quartier" à Namur). Quittant alors la rue Mathieu, la Maison Woitrin s'installerue de Fer 45-47 "vis-à-vis de l'Hôtel de Ville". C'est à cet endroit que, vers 1930, Marie Woitrin cède la librairie, et non l'mprimerie demeurant à son frère, à Monsieur Jacques Haerlingen,affréteur et propriétaire de bateaux sur la Meuse, qui y installe ses filles Isabelle et Marie-Rose. Toutefois, Marie Woitrin, à la personnalité très forte, ne peut se résoudre à quitter cettemaison qu'elle affectionne et demeure aux côtés du propriétaire, paraissant aux yeux de tous comme la maŒtresse des lieux ! La librairie propose toujours un éventail de non moins quinze centsprières, des objets de piété, de nombreux articles-cadeaux, les principaux journaux ainsi que tous les articles de papeterie fournissant notamment le Séminaire. La bibliothèque, ouvertequotidiennement et offrant tant la location que la vente des livres, est aussi fort bien fournie et, alors que les ouvrages religieux sont suggérés par l'évêché et commandés à la MaisonDesclée-de Brouwer, les textes d'écrivains en vogue sont mis en dépôt, chaque semaine envoyés de Paris. Il est aussi possible de réserver des places pour divers spectacles et c'est à laLibrairie eucharistique que se prennent les tickets d'autocar pour se rendre à Notre-Dame de Beauraing !

Un plan de Namur, imprimé en 1934 par la Maison Woitrin, mentionne bien la nouvelle adresse : "45 rue de Fer, vis-à-vis de l'hôtel de ville". Le document, sous forme de livret, s'accompagned'un hommage au défunt Roi Albert, et de publicités dont celle de la Maison Woitrin qui fait état des ouvrages et prières à ce moment recommandés : "La vie de Sainte-Thérèse de l'Enfant Jésus"(quatorze francs), "Bouquet spirituel en l'honneur de la Sainte Eucharistie" (cinquante centimes), "Neuvaines et invocations en l'honneur de Notre-Dame de Lourdes" (cinquante centimes),"Bouquet spirituel de la bienheureuse Vierge Marie" (cinquante centimes), "Marie est notre Mère" (quatre francs le cent), "Cantiques" (sept francs le cent), et même, comme ce fut le casprécédemment, certaines versions néerlandaises : "Gebed aan de Heilige Theresia van het Kind Jezus" (quatre francs le cent) et "Noveen en litanie ter eere van den heilige Theresia van het KindJezus" (soixante centimes). Outre l'adresse rue de Fer, le document mentionne également "Imprimerie Woitrin, Place Saint-Aubain 7", ce qui correspond à la demeure que Marie Woitrin,célibataire, occupe à cet endroit, habitation jouxtant l'actuelle Justice de Paix.

En 1936, c'est au Rempart de la Vierge 14 à proximité de la chapelle du Rempart, qu'elle réside et qu'il est notamment possible de réserver les opuscules du chanoine Bouchat dont les thèmesprincipaux sont : "Pour la confession et la communion des petits-enfants", "Les premiers vendredis du mois" (deux francs), "Au Sacré-Coeur. Trois invocations" (trente francs le cent),"L'éducation eucharistique par la maman" (cinq francs), "Vigilate 12 heures saintes" (dix francs), etc. C'est vers cette époque que Monsieur Haerlingen revend la librairie qui, très vite, aprèsavoir manqué d'être la propriété de Léon Degrelle, disparaŒt.

La seconde guerre mondiale est suivie par la mort, en 1946, d'Aloys Woitrin junior qui s'est toutefois progressivement désintéressé des affaires. La Maison Woitrin, tant librairiequ'imprimerie, dont la dernière trace trouvée date de fin 1950 (archives de Philippe-Edgar Detry), finit par disparaŒtre, victime en grande partie des réformes religieuses et du désintérêt deplus en plus accentué des jeunes générations pour les sciences religieuses. Avec elle, toute une tranche de vie namuroise a pris fin, après presque un siècle de présence incontournable.

Sur la Maison Woitrin, voir : "Namur vor und im Weltkrieg", München, 1918, p. 192 ; "Le folklore au Pays de Namur" ; R. Dejollier, "Une pensée de Namur", sans lieu, 1980, pp. 93 et 152 ; R.Dejollier, "Namur-revue 1829-1914", sans lieu, 1981 (voir années 1849 et 1862) ; R. Dejollier, "Namur-revue 1875-1925", sans lieu, 1984, p. 92 ; R. Dejollier, "Namur-revue 1865-1925", sanslieu, 1985, pp. 12, 14 et 232 ; J. Toussaint, "Visages anciens de Namur" ; dessins de H. Bodart (1874-1940), Bruxelles 1994, pp. 65, 147 et 233 ; "Dictionnaire biographique namurois", pp.221-223. Philippe-Edgar Detry conserve également dans ses archives un carnet de la "S.A. des Coupons primes" à laquelle adhérait, avant 1914, la Maison Woitrin. Elle permettait aux clients seprésentant auprès des négociants faisant partie de cette société, de recevoir des coupons primes leur donnant droit, selon le nombre et sans débours, à un objet à choisir parmi des bronzes,guéridons, lampes, phonographes, services de table en porcelaine, services de verres en cristal, etc. Le siège namurois de la "S.A. des Coupons primes" se situait au numéro 6 de la place del'Ange. Un grand merci à Madame Marie-Rose Haerlingen, à Jambes, pour les précisions concernant l'activité postérieure à 1932 de la librairie Woitrin, devenue alors propriété de son père. 
WOITRIN, Aloys (I2150)
 
1070 Sans alliance. Un document stipule qu'elle serait née en 1917.

Conseillère communale PSC (Parti Socialiste Chrétien) à Namur de 1970 à 1988, Prix Blondeau de la ville de Namur (1988), présidente - à la suite de son père - de la s.a. Patria, administratricedu Foyer namurois, administratrice-déléguée de l'Ecole de plein air à la Citadelle (Namur), vice-présidente de l'Hôtel maternel, administratrice des "Amis de l'Hôtel de Groesbeeck-de-Croix",fondatrice responsable de l'association culturelle "Connaissance et vie" à Namur, membre du club "Soroptimist" de Namur, vice-présidente du centre attractif et éducatif "Reine Fabiola",administratrice du centre scolaire Sainte-Claire.

A propos de Christiane Woitrin, voir : C. Pierard, "Christiane Woitrin, Prix Blondeau", in "Confluent", février 1990, pp. 18-19 (avec photo en couverture et à l'intérieur) ; N. Bastin, "l'Hôtelde Groesbeeck-de-Croix : un musée exceptionnel dans l'une des plus belles demeures namuroises", in "L'Eventail", avril 1996, p. 31 ; J.-F. Pacco, "Christiane Woitrin ou le bien public", in"Vers l'Avenir", 16 septembre 1998 ; M. Delahaut, "Christiane Woitrin, une Namuroise au grand coeur", in "Confluent", octobre 1998, pp. 48-49 ; "Hommages : Christiane Woitrin", in "NamurMagazine", nø 20, décembre 1998, p. 26 ; J.-F. Lahaut, "Les Namurois de l'année 1998", in "Clin d'oeil", 2 février 1999, p. 14. 
WOITRIN, Christiane Joséphine Jeanne Ghislaine (I920)
 
1071 Sans descandance de cette union. Famille F949
 
1072 Sans descendance de cete union. Famille F994
 
1073 Sans postérité de cette union. Famille F1013
 
1074 Sans postérité de cette union. Famille F1071
 
1075 Savant mathématicien, astronome, professeur à l'Athénée d'Anvers, membre de l'Académie Royale de Belgique. MONTIGNY, Charles (I1804)
 
1076 Second mari de Joséphine Françoise Crousse.
On ne connaŒt pas son prénom. 
BOULVIN, L. (I1728)
 
1077 Seconde (?) épouse d'Emile Nerinckx (cousin germain d'Emile Cloquet).
Une fois veuve, elle a émigré au Canada. 
COUPÉ, Fanny (I1438)
 
1078 Seconde épouse de Dominique Joseph Wauthier.
Un document stipule qu'elle serait décédée le 29 août 1869.
Elle reçut en "apport de mariage" 3000 florins.
Louise Cloquet a écrit une notice biographique à propos d'Anne Philippine Crousse. En voilà un résumé :
Philippine était la huitième des dix-sept enfants de Pierre François Crousse, Bourgmestre à Houtain et de Marie-Thérèse Derbaix.
Son père exploitait deux fermes - Houtain et Tongrinne - et ses exploitations étaient prospères. Anne Philippine Thérèse reçut sa première éducation de sa mère et de sa soeur aŒnée Julie.Pendant sa jeunesse éclata la Révolution Française. La famille pratiqua le culte en cachette. Dominique Joseph Wauthier - le mari d'Anne Philippine Thérèse Crousse - avait donné asile àDominique Antoine Wauthier, l'oncle et parrain d'Anne Philippine Thérèse Crousse. Dominique Antoine Wauthier était le Curé de Sclayn qui passait pour le précepteur des enfants de PierreFrançois Crousse et qui célébrait la messe dans une chambre retirée. A l'âge de 13 ans, Anne Philippine fut placée en pension chez les Soeurs Bénédictines à Mons. Dix-huit mois après, sa mèretomba malade et elle fut rappelée au logis où elle demeura jusqu'à l'âge de 30 ans. Anne Philippine fréquentait sinon le monde, du moins les fêtes de famille et y montrait un esprit enjoué. Ala ferme, elle fut chargée de la direction de la cuisine et de la laiterie. Elle vit avec peine ses soeurs la quitter, Julie d'abord, puis Sophie, sa confidente intime, pour entrer en religionet enfin Anastasie pour se marier et aller habiter Ways. Ses frères appelés aux Armées de Napoléon ne furent remplacés qu'au prix de grands sacrifices; Nicolas Jérôme, enrôlé dans la garded'honneur, ne put être exempté, mais ayant fait la veille du départ une chute de cheval qui faillit être mortelle, il échappa à l'incorporation.
Plusieurs partis s'offraient à Anne Philippine Thérèse; trois prétendants furent écartés : un bourgeois, un fermier, un propriétaire. A l'âge de 30 ans, elle accepta Dominique Joseph Wauthier -veuf de Marie Caroline Lambillote (ou Lambilotte ??) - qui emmena Anne Philippine Thérèse Wauthier à sa ferme de Tongrinne près de Namur, et qui la rendit très heureuse. Elle lui apportait unebelle dote et leur ferme prospérait. Cinq mois seulement après leur installation, ils eurent en cantonnement les troupes prussiennes. Anne Philippine Thérèse déploya beaucoup d'énergie à sefaire respecter de la soldatesque. Lors de la bataille de Ligny, elle alla trouver le Général prussien dans son camp et obtint deux "sauvegardes" qui préservèrent la ferme de l'incendie. Elledut toutefois s'enfuir avec son mari et son oncle ecclésiastique - Dominique Antoine Wauthier - et passer la nuit de la bataille dans un bois du voisinage, alors qu'elle était sur le pointd'être mère. Ils rentrèrent au logis le lendemain, mais pour voir leur maison livrée au pillage. On enleva jusqu'à la layette de l'enfant attendu, les bestiaux égorgés et même des chevaux. Ilssauvèrent toutefois l'argenterie, leurs valeurs et les papiers de famille. Le fermier se cacha pour ne pas être contraint de conduire en France les attelages réquisitionnés. Voulant toutefoisreprendre son cheval de selle des mains d'un pillard, il fut sur le point d'être tué et dut la vie au sang-froid de son épouse qui écarta l'arme. Un mois après la bataille, le 18 juillet 1815,Anne Philipine Thérèse Crousse donna le jour à sa fille aŒnée Philippine. La ferme fut restaurée; la prospérité y rentra. Dix-huit mois plus tard, naquit la seconde fille Thérèse. Une troisièmefille, Hyacinthe, ne vécut que 6 mois et Dominique, né en 1819, mourut après deux mois.
Bientôt après, son mari fut atteint par l'épidémie causée tardivement par l'inhumation défectueuse de victimes de la bataille et en mourut. Anne Philippine Thérèse liquida la fortune de sondéfunt mari - Dominique Joseph Wauthier - et elle s'acheta une maison à Rêves pour s'y retirer avec ses deux filles, Philippine et Thérèse.
Anne Philippine Thérèse partagea alors sa vie entre la prière, le travail et les oeuvres de charité et écartant de nouvelles propositions, elle répondit : "Une fois mariée, une fois mourir".
Elle prit part aux noces d'or des ses parents , vers 1824, célébrées par quatorze enfants, sept filles et sept fils survivants des dix-sept enfants. Elle perdit mère et père en l'espace de deuxans (1828-1830).
Après avoir marié ses deux filles - Philippine et Thérèse - elle suivit sa seconde fille, Thérèse, chez son mari Norbert Cloquet à Feluy, où elle retrouva une amie de jeunesse, MademoiselleNopère. Elle passa dès lors annuellement des vacances chez sa fille aŒnée Philippine à la ferme de Mon Souhait à Braine.
En 1864, sa soeur Marie Hyacinthe mourut à Ways. Elle y vivait retirée du reste du monde; pour obéir au désir de la défunte, Anne Philippine Thérèse alla la remplacer dans son petit prieuré.Elle y passa ses dernières années exemptes d'infirmités, visitée par ses filles et ses nièces qui se succédaient près d'elle. Elle montrait une austérité tempérée par un grain de gaŒté et sabonne humeur. A ses petits enfants réunis autour d'elle, il lui arrivait d'entonner de sa voix un peu cassée une vieille chanson ou un cantique. Chaque matin, elle entendait la messe dansl'église toute proche. Chaque mois, elle faisait une visite à sa propre chapelle portant, à la belle saison, un bouquet de fleur à la Vierge. Elle avait sans cesse à la bouche cette maxime :"Sans vertu, pas de bonheur".
Elle s'éteignit doucement le 27 août 1869; la veille, elle avait encore chanté un cantique qu'elle affectionnait. 
CROUSSE, Anne Philippine Thérèse (I1368)
 
1079 Seconde épouse de François Crousse, fils de Léopold Ghislain Crousse.
Originaire de Liège. 
XIBITTE, (I1816)
 
1080 Seconde épouse de Louis Adrien Martin Cloquet. SCHMITZ, Elisabeth Amélie (I735)
 
1081 Secrétaire général honoraire de la Fédération des cimentiers européens, chevalier de l'ordre de Léopold II, chevalier de la Légion d'honneur. DUTRON, Pierre Félix Henri Raoul (I2014)
 
1082 Serait aparemment originaire de Paris. CLOQUET, (I1879)
 
1083 Serait magasinier à Namur. Sans alliance connue.

Hobby : natation 
WOITRIN, Christian Paul Anne Marie Ghislain (I910)
 
1084 Serait originaire de Boussoit (Belgique). DERBAIS, Liévin (I2930)
 
1085 Serait originaire de Courcelles. BRIDOUX, Pierre Joseph (I2689)
 
1086 Serait originaire de Sombreffe. BOTTE, Marie (I2649)
 
1087 Serait originaire de Tourinnes-Saint-Lambert. DRION (OU BRION), Alice (I1830)
 
1088 Serait originaire de Wauthier-Braine. GOUVART, Marie-Antoinette (I1869)
 
1089 Serait originaire de Wauthier-Braine. LACROIX, Elisabeth (I1871)
 
1090 Si Martin Derbaix est effectivement né en 1738 (à Nivelles - Paroisse Saint Jean l'Evangéliste), cela voudrait dire que son père - Philippe Derbaix - était âgé de 12 ans à la naissance de sonfils Martin (??).
D'autre part, un document, stipule que Martin Derbaix se maria en 1738, c'est-à-dire la même année que sa naissance (??). Il n'est pas possible de vérifier ces données, les registresparoissiaux ayant été brûlés en mai 1940.
Il reprit la ferme de ses parents à Stoisy-lez-Nivelles où il resta environ 17 ans; il la quitta ensuite pour la ferme de ses beaux-parents, la cense de Cambrai à Merbraine (Braine-l'Alleud),ferme bâtie par le chapitre de Cambrain qui fut brûlée accidentellement par les soldats hollandais le 21 juin 1815.
Il eut dix enfants dont trois seulement survécurent, les sept autres étant décédés en bas âge. 
DERBAIX, Martin (I1357)
 
1091 Soeur de Paul Henry, père de Geneviève Henry, cette dernière étant l'épouse d'André Woitrin, lui-même frère de Ghislaine Woitrin. HENRY, Marie Léopoldine Julienne Josèphe (I1971)
 
1092 Soeur jumelle de Myllie. WOITRIN, Violette Claire Véronique Bernard (I2059)
 
1093 Soeur jumelle de Violette. WOITRIN, Myllie Marie Nelly Marianne (I2058)
 
1094 Son baptême est mentionné dans les tables mais introuvable dans les actes. WOITRIN, Gilles Joseph (I2296)
 
1095 Son père serait décédé plus d'un an avant sa naissance (??) CORDIER, Marie-Thérèse (I2853)
 
1096 Son vrai nom de famille reste assez flou. En effet, dans le registre paroissial, il est répertorié sous le nom "De Corde". Un autre document y indique le nom de "Delcorde" et un troisièmedocument le nom "Delchore".
Elle fut mariée en premières noces à Jacques Minne et en secondes noces à Gaspar Gailly. 
DELCHORE (de CORDE ?? DELCORDE ??), Anne (I1366)
 
1097 Source 1 : https://genearc.blogspot.com/2019/11/seance-du-jeudi-5-mars-la-carriere.html
Source 2 : https://drive.google.com/file/d/1fEZ6JqUd8ND8oD1l0WekaQhPy-LDsA2d/view
 
Boland, Benoit Marc Antoine Joseph (I4398)
 
1098 Source : http://www.francaislibres.net/liste/fiche.php?index=115607 Vinchon, Ernest (I4397)
 
1099 Source web 1 : https://gw.geneanet.org/thauront?lang=fr&pz=marie+aspasie&nz=jannet&p=henri+andre+joseph&n=bolland
Source web 2 : https://www.wikidata.org/wiki/Q65076412 
Boland, Henri André Joseph (I4396)
 
1100 Source web : https://gw.geneanet.org/thauront?lang=fr&pz=marie+aspasie&nz=jannet&p=andre&n=bolland Boland, André (I4414)
 

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