Généalogie de la famille Boland et Kubli


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Caroline Marie Anne Andrée Ghislaine WOITRIN

F 1958 -  (66 ans)


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Moins détail
Génération: 1

  1. 1.  Caroline Marie Anne Andrée Ghislaine WOITRIN est née le 7 fév 1958 à Leuven (Louvain),3000,,,,Belgique (fille de Michel Germain Joseph Ghislain (Baron - 1982) WOITRIN et Claire Marie Georgette Ghislaine BIBOT).

    Notes:

    Licenciée en kinésithérapie et réadaptation UCL (Université catholique de Louvain). Sans alliance connue.

    Famille/Conjoint(e): Inconnu. [Feuille familiale] [Tableau familial]

    Notes:

    1 ADDR Caroline WOITRIN
    rue Faider 80
    B-1050 BRUXELLES
    1 PHON 02.640.05.71


Génération: 2

  1. 2.  Michel Germain Joseph Ghislain (Baron - 1982) WOITRIN est né le 5 mai 1919 à Namur,5000,,,,Belgique (fils de Antoine Jean-Baptiste Joseph Marie WOITRIN et Louise Marie Rose Norbertine CLERBAUX).

    Notes:

    Hobby : voyages

    Candidat en philosophie et lettres FUNDPN (Facultés unviversitaires Notre-Dame de la Paix à Namur), docteur en droit, licencié en sciences économiques UCL (Université catholique de Louvain),"British council scholar au Queen's college" (Cambridge, Angleterre), "Rockefeller foundation research fellow" (Harvard, Etats-Unis), professeur puis administrateur-général et membre du conseild'administration de l'Université catholique de Louvain (1963-1984), responsable de la création de la ville nouvelle de Louvain-la-Neuve, fondateur et directeur scientifique de divers groupes etcentres de recherches, président de l'a.s.b.l. Patria à Louvain-la-Neuve, président de l'atelier théâtral de Louvain-la-Neuve, administrateur-fondateur de l' "European Centre for strategicmanagement of universities", administrateur de la fondation Hoover, du musée de la dynastie, du "Centre for european policy studies", d'Arts et culture, de Musi-UCL et Musi-LLN, des Amis dumusée instrumental, de NEW (Namur-Europe-Wallonie) à Namur, de l'Association des anciens de sciences économiques UCL, administrateur ou ancien administrateur de diverses sociétés industrielles,financières ou culturelles, avocat stagiaire chez le bâtonnier Devos à Namur, chef de cabinet adjoint du ministre des Affaires économiques (1949-1950), conseiller communal àOttignies-Louvain-la-Neuve, membre correspondant de l'Académie des sciences, agriculture, arts et belles-lettres d'Aix-en-Provence (France), membre correspondant de l'Académie d'Athènes(Grèce), écrivain*, honoré par une fondation Woitrin à Louvain-la-Neuve, conférencier pour diverses universités belges et étrangères, grand officier de l'ordre de Léopold II, officier del'ordre de Léopold, grand officier de l'ordre de Saint-Sylvestre (Vatican), grand prix Europa Humanisme de la fondation internationale pour le rayonnement des arts et des lettres (Genève),officier dans l'ordre des Palmes académiques (France), commandeur de l'ordre équestre du Saint-Sépulcre de Jérusalem, caballero de la "real hermandad de nuestra se–ora de Yllescas" (Espagne),médaille de combattant de la guerre 1940-1945, médaille du volontaire de guerre 1940-1945.

    *notamment : "Louvain-la-Neuve-Louvain-en-Woluwe : Le Grand Dessein", éditions Duculot, 1987, 300 pages, et "Hauts Lieux", Academia-Bruylant, Louvain-la-Neuve, 1998, 180 pages.
    Voir entre autres à son sujet, dans les publications récentes : "L'Université catholique de Louvain", pp. 8, 11, 13, 15, 145, 327, 371 ; V. Braun, "LLN, un exemple pour la Wallonie", in "LaLibre Belgique", 7 septembre 1997 ; G. Daloze, "Cette audace, cette foi et cette solidarité qui ont créé Louvain-la-Neuve", in "La Libre Belgique", 8 septembre 1997 ; "Louvain-la-Neuve, Aurored'une ville nouvelle", supplément du "Soir", 11 septembre 1997 ; L. Raphaël, "Louvain-la-Neuve : la <> qui se rêvait idéale", in "La Libre Belgique", 16 septembre 1997 ;"Louvain-la-Neuve, des souvenirs déjà", in "Vers l'Avenir", 17 septembre 1997 et 20 & 21 septembre 1997 ; "Louvain-la-Neuve. Un album-photos souvenir pour les 25 ans", in "Vers l'Avenir", 13novembre 1997 ; "Les Namurois de l'année", in "Confluent", janvier 1998, p. 41 ; "Le nouveau dictionnaire des Belges", 1998, p. 344 ; "Paul Vanden Boeynants", in "Le Soir", 6 février 1998 ;"Quand des professeurs se souviennent", in "La Libre Culture", 27 février 1998 ; C. Laporte, "L'alphabet humaniste de Woitrin", in "Le Soir", 4 et 5 avril 1998 ; "Une aventure universitairesous la direction de Gabriel Ringlet", Bruxelles, 2000, pp. 21-22, 33, 47, 238-239.
    Les contributions du baron Woitrin comme économiste varient de ses articles comme correspondant de "The Economist" (Londres) aux nombreuses publications dans "Recherches économiques de Louvain"et autres collections scientifiques.

    Origine du patronyme Woitrin - héraldique : "d'azur à un portique d'argent au chef du même, chargé d'une bible ouverte au naturel, accostée de deux fleurs de lys d'azur". L'écu surmonté d'unheaume d'argent couronné, grillé, colleté et liseré d'or, doublé et attaché de gueules, aux lambrequins d'argent et d'azur. C. : une branche d'olivier de sinople fruitée de sable. Devise :RECTA SAPERE, d'or sur un listel d'azur. En outre, pour l'impétrant, l'écu sommé d'une couronne de baron et tenu à dextre par un jeune homme de carnation, vêtu d'une courte tunique de lin, àsenestre par une jeune fille de carnation, coiffée d'un bandeau et vêtue d'une longue tunique, le tout de lin. Michel Woitrin obtint par arrêté royal du 16 novembre 1982 concession de noblessehéréditaire et du titre personnel de baron (voir : Etat présent de la noblesse du Royaume de Belgique", 1983, p. 201 ; P. de Bounam de Rijckholt et G. deHemptinne, "Lettres de noblesse octroyées par Sa Majesté Baudouin, roi des Belges (1951-1991)", Bruxelles, 1991, p. 291).

    Michel a épousé Claire Marie Georgette Ghislaine BIBOT le 19 jan 1953 à Namur,5000,,,,Belgique. Claire (fille de Pierre Jules Auguste Ghislain BIBOT et Félicité Marie Odile Ghislaine GENART) est née le 11 juil 1927 à Namur,5000,,,,Belgique; est morte le 5 avr 2001 à Ottignies L.l.n,1340,,,,Belgique. [Feuille familiale] [Tableau familial]


  2. 3.  Claire Marie Georgette Ghislaine BIBOT est née le 11 juil 1927 à Namur,5000,,,,Belgique (fille de Pierre Jules Auguste Ghislain BIBOT et Félicité Marie Odile Ghislaine GENART); est morte le 5 avr 2001 à Ottignies L.l.n,1340,,,,Belgique.

    Notes:

    Origine du patronyme Bibot -

    Notes:

    1 ADDR Michel et Claire WOITRIN
    place du Bia Bouquet 17
    B-1348 LOUVAIN-LA-NEUVE
    1 PHON 010.450.542 Fax : 010.452.942

    Enfants:
    1. Emmanuel Jean Marie Ghislain WOITRIN est né le 4 fév 1954 à Leuven (Louvain),3000,,,,Belgique.
    2. Luc Henri Pierre Louis Marie Ghislain WOITRIN est né le 16 mars 1955 à Leuven (Louvain),3000,,,,Belgique.
    3. Eveline Pierre Marie Ghislain Claire WOITRIN est née le 16 oct 1956 à Leuven (Louvain),3000,,,,Belgique.
    4. 1. Caroline Marie Anne Andrée Ghislaine WOITRIN est née le 7 fév 1958 à Leuven (Louvain),3000,,,,Belgique.
    5. Clarice Michel Christiane Paul Marie Ghislain WOITRIN est née le 31 déc 1961 à Namur,5000,,,,Belgique.
    6. Jehanne Michel Emmanuel Eveline Marie Ghisl. WOITRIN est née le 2 juil 1967 à Namur,5000,,,,Belgique.


Génération: 3

  1. 4.  Antoine Jean-Baptiste Joseph Marie WOITRIN est né le 6 sept 1885 à Namur,5000,,,,Belgique (fils de Aloys Antoine Joseph WOITRIN et Marie BOURDILLON); est mort le 22 fév 1968 à Namur,5000,,,,Belgique.

    Notes:

    Industriel, président-fondateur de la s.p.r.l. Etablissements Antoine Woitrin (Namur, Tournai et Anvers), qui compta jusqu'à cent employés, échevin catholique des Finances de la ville de Namur(1933-1952), dont une avenue porte le nom, président régional de la petite propriété terrienne, président du Crédit namurois jusqu'en 1968, président du Foyer namurois où une plaquecommémorative est scellée en 1972, président de la caisse de crédit professionnel de la province de Namur, président du Centre de santé, président du Conseil familial, président-fondateurrégional pour Namur puis vice-président pour la Wallonie de la Ligue des familles nombreuses, président de la s.a. Patria qui succède en 1921 au Cercle catholique de Namur (voir à ce sujet :"Les 120 ans de Patria", in "Confluent", octobre 1993, p. 8), président de la commission des Finances de la ville de Namur, membre du comité du Secours d'hiver (Namur), membre du Conseil desnotables de la province de Namur, membre de la Commission d'entrepôt de la ville de Namur, membre de la Chambre de commerce de Namur, Prix Blondeau de la ville de Namur (1952) (voir : R.Dejollier, "Namur-revue 1915-1940", Tournai, 1982, p. 58 ; Antoine Woitrin est titulaire du prix Blondeau 1952, coupure de presse non identifiée conservée dans les archives familiales), doyend'honneur émérite du travail.

    Dans la lignée des Woitrin, Antoine mérite sans conteste que l'on s'attache aux grands faits qui ont marqué sa vie. Laissant l'imprimerie familiale à son frère, Antoine Woitrin se lance, àvingt ans, dans un négoce de denrées coloniales, alors qu'un an plus tard, il se marie. Travailleur infatigable, son activité ne peut que laisser admiratif : non seulement il développe sanscesse ses affaires commerciales malgré les difficultés d'approvisionnement et de transport pendant la première guerre mondiale, et un incendie lors de la seconde, mais encore il s'investittotalement dans la politique locale, surveille les travaux de construction de son hôtel particulier et des entrepôts à Namur puis, plus tard, d'une villa à Dave-sur-Meuse ; il fonde une bellefamille de huit enfants, régénérant un nom au bord de l'extinction, du moins sous la graphie qui s'est imposée pour sa branche.

    En peu d'années, Antoine Woitrin porte au firmament des entreprises namuroises la société qu'il a créée et la Maison Woitrin, associée aux enseignes "Lido" et "Aligro", occupe en 1960 uneseptantaine d'ouvriers et employés avec un siège à Tournai et un bureau d'achat à Anvers. Les dépliants promotionnels de l'époque ne manquent pas de souligner que "chaque jour, des dizaines detonnes de marchandises entrent dans nos entrepôts pour constituer le stock et le choix de plus de deux mille articles belges et étrangers". Les entreprises comportent également un département"vins et liqueurs" comprenant une centaine d'appellations, ainsi qu'un département "bonneterie" (voir : Archives de Monsieur Etienne Woitrin à Namur ; une publicité antérieure fait état ausside fabriques de "chicorée de santé" et de vinaigre, et recommande l'achat du chocolat "L'Aiglon". Voir : R. Dejollier, "Namur-revue 1875-1925", sans lieu, 1984, p. 238). Une distillerie permetaussi de fabriquer un genièvre de qualité sous le nom de "Vieux Namur".

    Aussi est-ce une séance tout en émotion qui marque, en 1956, le jubilé de la société, en présence du ministre Héger et du baron Huart, bourgmestre de Namur, et de tout le personnel réuni (voir: extrait de presse du journal "Vers l'Avenir", non daté (1956), intitulé "A l'occasion du 50ème anniversaire des Etablissements Antoine Woitrin. Des distinctions honorifiques sont remises à 18collaborateurs de la firme jubilaire" et conservé dans les arcives familiales ; voir aussi "En présence de Monsieur le Ministre Héger. Les établissements Woitrin ont fêté vingt membres de leurpersonnel de Namur et Tournai", in "Vers l'Avenir", 1967 ; "Lauréats du travail à Dave", in "Vers l'Avenir", 1972).

    Père de famille nombreuse, catholique convaincu, Antoine Woitrin figure parmi les fondateurs, dès 1919, de la Ligue des familles nombreuses à Namur (voir : "Un grand homme de bien : AntoineWoitrin", in "Le Ligueur", 1er mars 1968 ; "Namur, cinquantième anniversaire de la Ligue des familles nombreuses", Belgrade, 1970, sans pagination ; "Namur : ouverture du cinquantenaire de laLigue", in "Le Ligueur", 20 novembre 1970), qui le désigne comme trésorier et ce, au sein d'un comité qui ne fait que croŒtre avec les années et que plusieurs personnalités namuroises marquentde leur empreinte : Georges Fallon, administrateur-délégué de la Maison d'édition Wesmaël-Charlier, le docteur Ghequière, Dieudonné Brouwers, historien et archiviste, le docteur Ranwez, lecolonel Henri de Thier, Franz Hubert, avocat et président du conseil d'administration du journal "Vers l'Avenir", sans oublier Henri Bribosia (1875-1949, avocat et bâtonnier de l'ordre, futpère, entre autres, de Paul (1910-1988), écuyer, président du tribunal de 1ère instance de Namur, qui obtint le 13 juillet 1982 concession de noblesse . Son épouse, née Jeanne Le Clercq (1909-1992), était l'arrière-grand-tante de Nathalie della Faille de Leverghem (ø1967), épouse de Philippe-Edgar Detry,auteur du présent article sur Antoine Woitrin et les membres de sa famille), avocat et échevin des finances, et premier président du comité Namur-ville de la Ligue.

    Devenu vice-président de la ligue namuroise, Antoine Woitrin succède à Georges Fallon comme président de la section régionale puis devient administrateur et enfin vice-président de la ligue àl'échelon national. En 1960, Antoine Woitrin quitte la ligue locale et régionale, tout en continuant à siéger au national, et est remplacé dans sa fonction par le juge Coméliau.

    Président du Foyer namurois (voir : Jean Jacquet, "Salzinnes et son passé", sans lieu, 1975, p. 46) et président régional de la Petite Propriété terrienne, Antoine Woitrin est un véritablemoteur de la politique familiale communale, et notamment du logement.

    Toutes ces activités menées de front ne l'empêchent toutefois pas de s'engager corps et âme dans la vie politique de sa cité. Conseiller communal catholique en tant que suppléant depuis lesélections de 1926, Antoine Woitrin entre dans la vie politique active le 29 décembre 1931, suite au décès du bourgmestre Fernand Golenvaux ; réélu aux élections du 9 octobre 1932, il devientéchevin des Finances le 9 avril 1933, le temps que les postes soient attibués au gré de chacun (voir : P. Jacquet et F. Jacquet-Ladrier, "La vie à Namur au temps du Roi Albert", pp. 37-38).Entre-temps, Antoine Woitrin a pris part aux festivités qui marquent à Namur le centenaire du collège Notre-Dame de la Paix. Il est membre du comité des anciens élèves, placé cette annéescolaire-là sous la présidence du baron de Gaiffier d'Hestroy, gouverneur de la province. Le 7 novembre 1936, il assiste par ailleurs à l'hommage rendu au bâtonnier Henri Bribosia par soncinquentenaire professionnel. Le secrétaire du comité est Xavier Bribosia et les membres , outre Antoine Woitrin, sont : Valentin Brifaut, Joseph de Dorlodot, Adrien de Montpellier, GeorgesFallon, Fernand Golenvaux, le chanoine Alfred le Grand, Auguste Mélot, Ernest Vermeulen de Mianoye, Joseph Vrithoff, Jean de Wasseige, Max de Wasseige, et pour le comité des fêtes, JeanBribosia, Albert Monjoie, et André Ranwez (voir : "Centenaire du collège Notre-Dame de la Paix à Namur, Fêtes jubilaires 1831-1931", Bruxelles, 1931, p. 81 ; sur Henri Bribosia, voir : "Le bâtonnier Henri Bribosia, Cinquantenaire professionnel le 7 novembre 1936", Namur, 1936, p. 7 ; "Dictionnaire biographique namurois", pp.48-50). Pendant vingt ans, jusqu'en 1952, l'échevin qu'il est se préoccupe avec une rigueur et assiduité remarquables - il passe quotidiennement à l'hôtel de ville - de l'avenir de la cité quil'a vu naŒtre et pour laquelle son attachement est grand (voir : Ville de Namur, procès-verbaux du Conseil communal, années 1931-1952).

    Il participe aux travaux importants qui marquent Namur au cours des années trente, tels que : la création des rues des Carmes et des Croisiers, de l'avenue Golenvaux, qui nécessitel'expropriation du Marché-aux-Foins, l'aménagement intérieur de la Bourse de commerce, confié à la société "Rhodius-Deville"* ; mais encore, s'inquiète-t-il de la programmation du théâtre, ducontrat liant la ville au casino et ce, sans négliger le bien-être des villages avoisinants pour lesquels il insiste sur de bonnes communications, développant notamment le réseau d'autobus.Grand argentier, il a notamment pour mission le calcul des pensions des employés communaux et gère, en bon père de famille qu'il est, les finances publiques : il en est jusqu'à la consommationde chauffage de l'institut Saint-Camille, dépendant de l'Assistance publique, à laquelle il est attentif, signalant au conseil communal du 6 novembre 1935 que "la chaufferie consomme pour neufcent cinquante francs de gaz par jour, cela ne peut plus durer !" (voir : R. Dejollier, "Namur-revue 1915-1940", pp. 209 et 252).

    En 1940, il vit les angoisses de l'invasion allemande avec ce que cela implique comme responsabilités et relations difficiles avec l'ennemi. Scrupuleusement fidèle à tous les conseils communauxen temps de guerre (voir : "Pays de Namur" (spécial Salzinnes), p. 24 ; Délibérations conservées dans les archives de l'Hôtel de Ville de Namur), alors que plusieurs sont reportés n'atteignantpas le quorum, il est membre pendant cette période du conseil des notables (voir : G. Hubert, "1939-1945, Namur en images", Bruxelles, pp. 8,34, 35, 50) où il retrouve comme président HenriBribosia, comme secrétaire son cousin Edgar Detry (cousin et ami d'enfance d'Antoine Woitrin, Edgar Detry (1886-1967) - a‹eul de Philippe-Edgar Detry, auteur de toutes ces notes concernantAntoine Woitrin - accomplit avec lui ses études primaires à l'Institut Saint-Louis à Namur ; voir : "Dictionnaire biographique namurois", pp. 81-82), et se dévoue sans compter pour lacommission d'Assistance publique et le secours d'hiver.

    Il est aussi très actif pour la sauvegarde du patrimoine durement touché par la guerre : restauration des vitraux des églises Saint-Joseph et Notre-Dame ou réfection des hospices d'Harscamp etSaint-Gilles. Il fait également le point sur l'état du casino, qui a été pillé et qui doit être remis à neuf. Sa maison, située à proximité du chemin de fer, a elle-même été endommagée le 28août 1944 par une torpille aérienne lâchée par un chasseur américain.

    L'après-guerre le voit d'autant plus actif que tout est à faire : restaurations diverses, dégagement de la tour Marie Spilar et création d'une rue, reconstruction de quartiers entierssinistrés, tels que les rues Billiart, de Gravière et du Lombard, reconstruction des ponts, de l'hôtel de ville, des presbytères de Saint-Nicolas et Notre-Dame, travaux au musée archéologique,puis plus tard, en 1950, urbanisation de nouveaux quartiers dont celui du "Pied noir" et création d'une piscine communale à Salzinnes. Construite par la société Rhodius-Deville (voir note enfin d'article), la première pierre de la piscine communale fut posée en 1952 et le bâtiment inauguré cinq ans plus tard, les subsides ayant tardé. L'ouvrage "La natation dans le Namurois" nemanque pas de souligner en avant-propos "En hommage à feu Antoine Woitrin, ancien échevin des Finances et des Sports de la ville de Namur qui proposa au conseil commnal, le 7 octobre 1950, lacréation d'un bassin de natation couvert" (voir : F. Rousseau et H. Mathieu, "La natation dans le Namurois, pp. 1 et 39, avec photo).

    Antoine Woitrin quitte le monde politique en 1952, assistant, le 29 décembre, à son dernier conseil communal. Cette même année, le Prix Blondeau de la ville de Namur lui est décerné, comme ille sera plus tard à sa fille Christiane, en hommage à ce namurois qui en toutes circonstances a su s'effacer devant la chose publique et appliquer, au jour le jour, les préceptes d'une vieprofondément chrétienne.

    * origine du patronyme Rhodius - importante famille industrielle namuroise qui donna notamment un avocat-sénateur de l'arrondissement de Namur-Dinant-Philippeville, un architecte à Tournai, uningénieur en chef à la ville de Namur, une supérieure de la congrégation des Soeurs de Notre-Dame sous le nom de soeur Marie-Louise de Saint-Joseph, et, enfin, de grands propriétaires decomptoirs commerciaux au Congo belge.

    C'est en 1871 qu'Omer Rhodius fonde la société (anonyme le 8 août 1903, au capital de six cents mille francs) "Rhodius-Deville", la plus importante entreprise de construction de bâtimentsnamuroise, qui compte jusqu'à quatre cents ouvriers et reste prpriété exclusive de la famille jusqu'en 1973.

    La caserne d'infanterie Marie-Henriette (1890), la chapelle de l'Ecole des cadets (1898), l'hôpital Saint-Camille (1900), l'église Sainte-Julienne à Salzinnes, le pavillon du square Léopold(1909), la construction sur des terrains appartenant notamment à la famille des rues Henri LemaŒtre et Hambursin, l'institut des Soeurs de Notre-Dame, la chapelle des Soeurs de Charité (1924),l'orphelinat Saint-Jean de Dieu et plus tard l'école d'infirmières, la piscine communale de Salzinnes, les Assurances du crédit, le nouvel hôpital Saint-Camille (1958), la maternitéprovinciale, la maison de la culture (1958), l'école hôtelière ou l'annexe de l'hôpital Saint-Pierre à Bruxelles, ainsi que tant d'autres réalisations à Namur et dans le pays sont à l'actif decette société dont les vastes chantiers se situaient rue de l'Indépendance (aujourd'hui rue Henri LemaŒtre), où une impasse porte toujours le nom Rhodius, et boulevard d'Omalius (aujourd'huiavenue Cardinal Mercier).

    Lors du passage en société anonyme en 1903, des ouvertures de crédit sont accordées par la banque centrale à la famille qui donne en garantie des biens lui appartenant : une maison et quatrehectares et demi de terres à Saint-Servais, six maisons et deux hectares à Salzinnes, dix-sept maisons couvrant un hectare quatre-vingt-neuf ares à Namur, un terrain de quatre-vingt-huit aresboulevard d'Omalius, ainsi que les chantiers, forges, bureau, etc. couvrant quatre-vingts ares à Salzinnes (voir : Notaire Adolphe Monjoie, à Namur, actes des 21octobre 1903 et 2 mars 1906,conservés ainsi que d'autres documents dans les archives de Madame André Detry, à Namur).

    Le fondateur de la société, Omer Rhodius (1850-1922), entrepreneur, maŒtre de carrières et propriétaire de trois briqueteries, conseiller communal à Namur, souscripteur à la manifestation enl'honneur d'Alfred Bequet le 26 juin 1898, x Namur 8 février 1872 Marie-Louise Deville (1851-1931), fut le père d'Anna Rhodius 1872-1955) x Namur 10 décembre 1898 Florent Henry (1874-1917) ; ilfut le grand-père de Louis Henry (1901-1978), industriel, administrateur-propriétaire de la s.a. Rhodius-Deville, président du tribunal de commerce de Namur, fondateur et président d'honneurde la Chambre syndicale des entrepreneurs de Namur, x Namur 16 décembre 1922 Marie-Ernestine Bister (1896-1983) (voir : Philippe-Edgar Detry, "Essaimage", p. 105) ; il fut l'arrière-grand-pèred'Anne-Marie Henry (ø 1926) x Namur 2 septembre 1953 André Detry (1920-1981), avocat au barreau de Namur, oncle de Philippe-Edgar Detry, et descendant d'Anne-Jeanne Woitrin (voir noteindividuelle d'Anne-Jeanne Woitrin)

    A propos de Rhodius-Deville, voir : Alfred Bequet, op. cit., p. 74 ; A. Engels, "Notice sur Louis Rhodius", in "Biographie coloniale belge", tome III, col. 733-734 ; "Eloge funèbre de LouisRhodius", in "Le Pays réel", 29 décembre 1938 ; P. van Molle, "Le parlement belge (1894-1969)", Ledeberg, 1969 (verbo Rhodius) ; F. Henry, "Historique de la société Rhodius-Deville", Paris,1969 ; F. Rousseau et H. Mathieu, "La natation dans le Namurois", Saint-Servais, 1971, p. 39 ; J. Jacquet, "Salzinnes et son passé", pp. 41, 51, 52 ; "Les funérailles d'un bâtisseur", in "Versl'Avenir", 6 avril 1978 ; M. Arnold et P. Dulieu, "Namur à coeur ouvert", Paris-Gembloux, 1979, p. 150 ; R. Dejollier, "Une pensée de Namur", p. 17 ; J. Willemart, "Les anciennes briqueteriesnamuroises", in "Le Guetteur wallon", 1981, nø 2, pp. 39, 45, 54-55 ; P. Jacquet et F. Jacquet-Ladrier, "La vie à Namur au temps du Roi Albert", pp. 45, 61, 152 ; P. Bribosia, "Mémoires decinquante années d'un palais de justice", p. 96 ; "De l'avant à l'après-guerre. L'extrême-droite en Belgique francophone", Bruxelles, 1993, p. 98 ; "Pays de Namur" (spécial Salzinnes), nø 147,1993, p. 11 ; "Dictionnaire biographique namurois", p. 201-202 et p. 38 (Bister).

    Antoine a épousé Louise Marie Rose Norbertine CLERBAUX le 4 mai 1907 à Tournai,7500,,,,Belgique. Louise (fille de Henri Pierre Joseph CLERBAUX et Joséphine Marie Bernardine Philippine Thérèse CLOQUET) est née le 6 jan 1881 à Tournai,7500,,,,Belgique; est morte le 24 fév 1955 à Namur,5000,,,,Belgique. [Feuille familiale] [Tableau familial]


  2. 5.  Louise Marie Rose Norbertine CLERBAUX est née le 6 jan 1881 à Tournai,7500,,,,Belgique (fille de Henri Pierre Joseph CLERBAUX et Joséphine Marie Bernardine Philippine Thérèse CLOQUET); est morte le 24 fév 1955 à Namur,5000,,,,Belgique.

    Notes:

    Origine du patronyme Clerbaux - famille alliée notamment aux Schmitz, de Potter (voir : P. E. Detry, "Essaimage", op. cit., p. 101), Colens et Molitor.

    Elle fut notamment congréganiste de la Très Sainte Vierge, présidente des Dames de charité de la paroisse de Bomel (Namur), membre du comité provincial de la Fédération des femmes catholiques,dame visiteuse des prisons.

    Enfants:
    1. Jacques Henri Aloys Marie Ghislain WOITRIN est né le 3 déc 1908 à Namur,5000,,,,Belgique; est mort le 11 avr 1998 à Namur,5000,,,,Belgique.
    2. André Joseph Aloys WOITRIN est né le 20 fév 1910 à Namur,5000,,,,Belgique; est mort le 6 nov 1997 à Dave-sur-Meuse,5100,,,,Belgique.
    3. Monique Marie Josèphe Ghislaine WOITRIN est née le 20 août 1911 à Namur,5000,,,,Belgique; est morte le 14 juin 1993 à Namur,5000,,,,Belgique.
    4. Ghislaine Marie Henriette Léonie WOITRIN est née le 7 juil 1913 à Namur,5000,,,,Belgique; est morte le 11 jan 1965 à Tournai,7500,,,,Belgique.
    5. Christiane Joséphine Jeanne Ghislaine WOITRIN est née le 24 fév 1916 à Namur,5000,,,,Belgique; est morte le 14 sept 1998 à Namur,5000,,,,Belgique.
    6. 2. Michel Germain Joseph Ghislain (Baron - 1982) WOITRIN est né le 5 mai 1919 à Namur,5000,,,,Belgique.
    7. Paul Léon Jacques Ghislain WOITRIN est né le 2 juin 1921 à Namur,5000,,,,Belgique.
    8. Etienne André Monique Ghislain WOITRIN est né le 10 nov 1923 à Namur,5000,,,,Belgique.

  3. 6.  Pierre Jules Auguste Ghislain BIBOT est né le 4 mai 1897 à Namur,5000,,,,Belgique (fils de Auguste BIBOT et Claire MAGERY); est mort le 31 jan 1982 à Faulx-les-Tombes,5340,,,,Belgique (Neumoulin).

    Notes:

    Docteur en droit, juge au tribunal de Première Instance de Namur, président de la Conférence du jeune barreau, président des Bardes de la Meuse (1930-1933), président du Rotary Club de Namur,membre de la commission des fêtes et de la commission de la publicité de la ville de Namur (1933), prisonnier de guerre, membre de la Fédération nationale des anciens prisonniers de guerre,membre de l'oeuvre "Aide et réadaptation".

    A propos de Pierre Bibot, voir : P. Bribosia, "Mémoires de cinquante années d'histoire d'un palais de justice", pp. 27, 29, 31, 34, 46, 96, 106.

    Il était le fils, du premier lit, d'Auguste Bibot (1865-1927). Voir note sur Auguste Bibot.

    Sur les Bibot alliés aux Reginster, voir "Rallye Reginster", 1992, 130 pages dactylographiées.

    Pierre a épousé Félicité Marie Odile Ghislaine GENART. Félicité (fille de Achille GENART et Charlotte DOCHEN) est née le 11 jan 1902 à Eghezée,5310,,,,Belgique; est morte le 8 déc 1989 à Bruxelles,1000,,,,Belgique. [Feuille familiale] [Tableau familial]


  4. 7.  Félicité Marie Odile Ghislaine GENART est née le 11 jan 1902 à Eghezée,5310,,,,Belgique (fille de Achille GENART et Charlotte DOCHEN); est morte le 8 déc 1989 à Bruxelles,1000,,,,Belgique.

    Notes:

    Ils eurent sept enfants dont quatre sont actuellement connus.

    Enfants:
    1. Paul BIBOT est né en 1925.
    2. Pierre BIBOT est né en 1925.
    3. 3. Claire Marie Georgette Ghislaine BIBOT est née le 11 juil 1927 à Namur,5000,,,,Belgique; est morte le 5 avr 2001 à Ottignies L.l.n,1340,,,,Belgique.
    4. John BIBOT est né en 1934.


Génération: 4

  1. 8.  Aloys Antoine Joseph WOITRIN est né le 29 mai 1841 à Namur,5000,,,,Belgique (fils de Théodore Ghislain WOITRIN et Joséphine Catherine BRUSKIN); est mort le 5 oct 1906 à Namur,5000,,,,Belgique.

    Notes:

    Imprimeur dès 1860 en association avec son frère Jules, éditeur et propriétaire de la Librairie eucharistique de Namur, rue du Pont puis conjointement Grand-Place et place Pied-du-Château àNamur, propriétaire de deux demeures sises Grand-Place à Namur et de maisons et terres en cette ville (voir : Archives du cadastre à Namur. Acte du notaire Hamoir à Namur, le 18 mai 1887),membre bienfaiteur du Cercle catholique (voir : J. Bovesse, "Notes sur l'histoire du Cercle catholique de Namur (1865-1921)", in "Annales de la Société archéologique de Namur (ASAN)", tome 56,2e, p. 344 ; son nom et celui de son frère abbé, Constant, figurent au titre de bienfaiteur sur la frise du plafond de l'ancien Cercle catholique), membre de l'association du TrèsSaint-Sacrement, membre de la congrégation de la Sainte Vierge.

    Retracer l'histoire de l'imprimerie Woitrin n'est pas chose aisée. En effet, la maison Woitrin, totalement détruite lors de l'incendie de la Grand-Place par les Allemands, en 1914, n'a laisséaucune pièce d'archives ; tant les biens professionnels que privés disparurent dans l'incendie et notamment meubles, portraits, photographies et souvenirs divers. Transférée rue Mathieu (avenuede la Gare) puis rue de Fer, la librairie - alors séparée de l'imprimerie - change de mains et disparaŒt, emportant dans l'oubli ses archives reconstituées ! Ironie du sort, un "Fonds Woitrin"déposé aux Archives de l'Etat à Namur (AEN) figure à l'inventaire... mais est introuvable...! (voir : Archives de l'Etat à Namur, Familles particulières, nø 1425)

    Une facture (collection particulière) de la Maison Woitrin, datée du 3 janvier 1925, nous apprend toutefois que c'est en 1860 que l'entreprise a été fondée et ce, très probablement par uneassociation familiale composée d'Aloys Woitrin, alors âgé de dix-neuf ans, et de son frère Jules, vingt ans ; le souvenir de l'ordination de l'abbé Julien Provis, le 23 décemnbre 1865 (voir :Archives de P.-E. Detry ; sur l'abbé Julien Provis (1829-1913), cousin germain de la bisa‹eule de Philippe-Edgar Detry, madame Emile Detry née Mathilde Provis (olim "de Prouvy") (1851-1905),voir : P.-E. Detry, "La famille Provis", pp. 96-97), porte en effet "Namur, typographie de Woitrin frères". C'est la même mention qui apparaŒt sur le règlement imprimé en 1866, pour l'Oeuvre dela "Propagation de la Foi et de la Sainte-Enfance" (voir : "Victor-Auguste-Isidore Dechamps, évêque de Namur, au clergé de notre diocèse, salut et bénédiction en Notre Seigneur Jésus-Christ",sans lieu, 1867, p. 141).

    Quatre ans plus tard, Aloys est marié depuis trois mois, séparé commercialement de son frère, devenu opticien, et marque dès lors le souvenir mortuaire de Jules Provis, décédé le 9 juillet 1869(voir : P.-E. Detry, "La famille Provis", p. 104), et celui de madame Feuillen Genard, le 27 octobre 1870 (voir : archives de P.-E. Detry), de la mention "Namur, imprimerie deWoitrin-Bourdillon". Cette appellation est relativement peu fréquente même si elle apparaŒt en novembre de la même année sur une affiche de vente d'un immeuble à Namur et - trois ans plus tardencore - sur le souvenir mortuaire de madame Marie-Lambert Leveaux, née Sophie LemaŒtre (voir : Archives de l'Etat à Namur, Protocoles notariaux, nø 7357 ; Archives de mademoiselle LucieGerard, à Namur. Voir à son sujet : P.-E. Detry, "Vivre au 28-30 rue de la Croix", p. 115).

    A cette époque, et vraisemblablement dès ses débuts, la Maison Woitrin est bien introduite dans le milieu catholique namurois, Aloys appartenant à diverses associations religieuses. Dès 1868,l'imprimerie publie la "Revue populaire de l'association de Saint-François de Sales", placée sous le patronage de l'évêque. La revue, qui comporte seize pages, paraŒt chaque semaine et coûtetrois francs l'an ; imprimée par la Maison Woitrin, jusqu'au 1er août 1879, elle est ensuite publiée par la Maison Wesmaël-Charlier (voir : J. Chalon, "Les périodiques namurois", in "Annales dela Société archéologique de Namur (ASAN)", 1891, p. 508).

    En 1871, sort notamment des presses de l'imprimerie Woitrin un ouvrage : "Dernier adieu ! A la meilleure et la plus regrettée des mères", et l'année suivante, le "Vestiaire des pauvres, fondéen septembre 1865. Compte-rendu de 1871-1872. Statuts et liste des membres de l'oeuvre" (voir : abbé F.D. Doyen, "Bibilographie namuroise", pp. 32 et 196).

    Contemporains et semblables sont les menus imprimés par la Maison Woitrin les 16 avril et 12 août 1873 pour la mariage de Joséphine Woitrin et Jean-Baptiste Derhet (voir : archives de P.-E.Detry) et celui d'Emilie Knops et Alfred Devaux (à son propos, voir note en fin). Le 23 août 1875, l'imprimerie Woitrin publie le "Souvenir du jubilé célébré en l'église d'Erpent à l'occasiondu cinquantième anniversaire du mariage de François-Joseph Dispaux et de Catherine-Josèphe Lesuisse, mariés à Jambes le 23 août 1825, père, mère, a‹eux et bisa‹euls de quatre-vingts enfants,petits-enfants et arrière-petits-enfants" (voir : archives de P.-E. Detry).

    A côté de ses affaires commerciales, Aloys Woitrin investit également dans l'immobilier. Ainsi achète-t-il à la famille Winand, le 4 avril 1876, deux maisons contiguës aux Trieux de Salzinneslongeant le halage de la Sambre, comportant une quarantaine d'ares et joignant ses cousins Warrant (voir note de Gaspard Warrant). Il revend cette propriété le 17 novembre 1880 à Eugène Henry,alors que, le 2 octobre 1879, il s'était porté acquéreur d'une demeure avec dépendances et terrain contigu au boulevard Isabelle Brunell nø 3, qu'il revend le 25 novembre 1881 à AmbroiseBequet, rentier à Namur, dont les usines familiales connues sous le nom "Tannerie Bequet-Bauchau" sont voisines (ces importantes usines qui cessèrent leurs activités en 1911 firent l'objet, le27 août 1910, par-devant MaŒtre Logé, notaire à Namur, d'une offre d'achat aux familles Bequet et Hamoir, pour la somme de cinq cent mille francs, par Albert Devaux (à son propos, voir note enfin), neveu de Ferdinand Devaux, trisa‹eul de P.-E. Detry (voir : archives de P.-E. Detry et "Pays de Namur", nø 149, 1993, p. 22).

    Les affaires commerciales se poursuivent. En 1880, c'est la mention "Aloys Woitrin, imprimeur à Namur" que l'on retrouve sur le souvenir mortuaire de François André (à son propos, voir note enfin), décédé le 5 février, et celle d' "Aloys Woitrin, imprimeur rue du pont à Namur", sur celui de Pierre Javaux, le 26 septembre (sur madame Pierre Javaux née Marie-Joseph Rase (1801-1880),quadrisa‹eule de P.-E. Detry, voir : P.-E. Detry, "Essaimage", pp. 34-35).

    L'année suivante, Aloys imprime pour la "Société des propriétaires et amateurs de chasse pour aider à la répression du braconnage dans la province de Namur" (voir madame Yves de Thomaz deBossierre, "Les Thomaz de Bossierre", p. 90), les statuts et règlement donnant la liste de tous les grands propriétaires terriens du Namurois, et l'étende de leur chasse.

    L'année 1886 marque un tournant. Le 23 juillet, le jeune négociant se porte en effet acquéreur, pour la somme de trente-cinq mille francs, d'une belle demeure du XVIIe siècle, autrefois occupéepar le libraire Ybert, Grand-Place nø 26 (voir : Archives de l'Etat à Namur, Protocoles notariaux, nø 7334). Il y transfère ses activités, les ateliers d'imprimerie se situant toutefois placePied-du-Château. Moins de quatre ans plus tard, Aloys acquiert, le 8 avril 1890, sous seing privé (voir : Archives du cadastre à Namur, matrice cadastrale, parcelle 845c), la demeure voisine,appartenant à Emile Chantraine, rentier à Belgrade, et Jules Chantraine, sculpteur à Saint-Servais. Cette importante bâtisse, qu'il donne en location, possède une grande profondeur deconstruction avec sortie rue des Brasseurs. Sa façade ainsi que celle de la librairie font face à l'hôtel de ville. Doit probablement dater de cette époque un intéressant livret cartonné etmarqué en lettres d'or "Souvenir de Namur, Woitrin, Namur" comportant douze vues de Namur marquées chacune "Maison Woitrin, Namur" (collection particulière). L'imprimerie familiale publieaussi, en 1892, les statuts de la Société photographique de Sambre-et-Meuse (voir : Pierre-Paul Dupont, "Un demi-siècle de photographie à Namur des origines à 1900", p. 101 (avec photo de lapage de garde des statuts)).

    C'est la mention "A. Woitrin, imprimeur Grand'Place, Namur" qui apparaŒt sur le souvenir du chanoine Descamps en 1897 (voir : Archives de P.-E. Detry) et celle "Lithographie A. Woitrin, Namur"qui figure sur l'annonce de mariage en deux cartons écrits en anglais d'Albert Devaux et de Lydie Joly en 1900.

    Entre-temps, en 1898, "A. Woitrin, éditeur, Grand'Place, Namur", propose un "Vade-mecum du touriste dans Namur et les environs". Propriété de l'éditeur, ce guide touristique présenté sous unebelle couverture rouge gaufrée, qui comporte quarante pages au format 16,5 cm sur 8,5 cm, relate dans sa préface qu'il s'agit "d'une simple nomenclature des curiosités que présentent Namur etses environs et qu'il se veut court, clair, sans prétention, mais complet". Il est vendu vingt-cinq centimes (voir : G. Maison, "A la recherche de Wépion dans la littérature touristique d'il ya cent ans", in "Wépion 2000", nø 155, 1995, p. 457).

    En 1902, l'imprimerie s'associe aux événements marquant le Congrès eucharistique qui se déroule cette année-là à Namur, et c'est la maison voisine de celle des établissements Woitrin,appartenant à la famille, qui abrite l'autel superbement décoré, érigé pour ces manifestations. Monsieur et Madame Aloys Woitrin ainsi que leurs fils Aloys et Joseph, tous individuellement,sont souscripteurs au Congrès eucharistique. De même que Madame Jean-Baptiste Dutoy, née Marie Woitrin et que Joseph Blanke (ex matre Woitrin) (voir : "Congrès eucharistique de Namur, 3-7septembre 1902", Namur, 1903, pp. 20, 56 et 127).

    Jusqu'en 1914, l'imprimerie Woitrin, sise Grand'Place, joue un rôle prépondérant dans l'histoire du monde catholique namurois, le journal l' "Ami de l'ordre" la recommandant toutparticulièrement (voir : "Bibliothèques namuroises", p. 63). Outre les souvenirs et faire-part mortuaires, les annonces de mariage, les images pieuses telles celle du Sacré-Coeur de Jésus, àcinquante centimes le cent, la prière à la bienheureuse Julie Billiart (1906), la neuvaine en l'honneur de Saint-Antoine de Padoue (1906), la prière des jours tristes, les prières pour laCommunion, celle à Notre-Dame du Rempart (1914) ou encore la prière "à réciter dans les moments de l'épreuve", la Maison Woitrin vend des ouvrages religieux comme "Le Saint Sacrifice de lamesse ou le manuel du chrétien", imprime des menus (voir : P.-E. Detry, "L'art de la table dans le Namurois de 1750 à 1900", Bruxelles, 1988, pp. 89 et 96) comme celui du mariage, en 1905,d'Ernest Dantinne (à son propos, voir note en fin) et Claire de Brabant comprenant seize plats, et des images de Communion solennelle. Elle est aussi dépositaire de journaux comme "Namur, revuebi-mensuelle", dont l'abonnement est fixé, en 1899, à six francs (voir : "Namur, revue bi-mensuelle", avril 1899, nø 3, p. 31). Il est encore possible de s'y procurer de nombreuses vuesphotographiques de Namur, et des cartes postales imprimées dans la Maison, comme celles du sceau de la ville de Namur, ou commercialisées et provenant notamment de la célèbre Maison Nels,telles celles de la béatification de la mère Julie Billiart, le 21 mai 1906, ou celle représentant la maison natale de la mère de Julie (voir : Daniel Franquien, "Namur. Evénements en cartespostales anciennes", Beersel, 1997, pp. 46, 48-50 et 103). Sur le plan des publications, ajoutons encore l'impression ainsi que l'administration et la direction du journal catholique "Le paysde Namur, organe des cantons de Namur, Andenne, Eghezée, Fosses et Gembloux", vendu du 19 décembre 1897 à août 1914, au prix de cinq centimes le numéro, et dont la rédaction est confiée àl'avocat namurois Alexandre Gerard (à son propos, voir note en fin) (voir : M.-L. Warnotte, "Etude sur la presse à Namur 1794-1914", in "Cahier du Centre interuniversitaire d'histoirecontemporaine", Louvain, 1965, nø 44, pp. 88, 89, 334), ou encore, en 1903, la "Vie de Saint-Adolphe, XXVIIIe évêque d'Asmabruck (45 pp.)", par N. Tillière, ainsi qu'en 1906, la "Vie de MadameBourtonbourt, fondatrice des Soeurs de la Charité", par l'abbé Wilmet (198 pp)". Cette dernière année est toutefois marquée par la mort, presque inopinée, d'Aloys père, dont l' "Ami de l'ordre"ne manque pas d'évoquer le souvenir dans ses colonnes : "Nous avons appris avec peine la mort de Monsieur Aloys Woitrin, imprimeur en notre ville, pieusement décédé hier vendredi, dans sasoixante-sixième année, après une courte maladie, administré des sacrements de l'Eglise. C'était un chrétien convaincu, pieux, dévoué. C'était un des membres les plus zélés de l'association dutrès Saint Sacrement et de la congrégation de la Sainte Vierge. Il se prodiguait pour toutes les bonnes oeuvres et jamais il ne marchanda son coucours à la défense de la bonne cause.Travailleur intelligent et actif, homme serviable, obligeant, Monsieur Aloys Woitrin jouissait de nombreuses sympathies et sa mort provoquera de sincères regrets. Nous prenons part à la douleurdes siens et nous leur présentons nos cordiales et chrétiennes condoléances. Le service funèbre, suivi de l'inhumation, aura lieu le mardi 9 octobre à 10 heures, en l'égliseSaint-Jean-Baptiste" (voir : "Ami de l'ordre", 6 octobre 1906).


    >> Alfred Devaux (1847-1897), important grossiste en bonneterie et denrées coloniales, propriétaire d'un hôtel particulier rue Godefroid à Namur, détruit après avoir abrité l'Union des classesmoyennes, dont le menu de mariage comporte non moins de vingt plats, frère de Ferdinand Devaux (1836-1927), trisa‹eul de Philippe-Edgar Detry, épousa à Namur le 12 août 1873 Emilie Knops(1844-1895), elle-même veuve en premières noces de Jules Provis (1846-1869), rentier à Namur, cousin germain de madame Emilie Detry née Mathilde Provis (1851-1905), bisa‹eule de P.-E. Detry.Voir : P.-E. Detry, "La famille Provis issue de Jean de Prouvy", p. 104 ; "Dictionnaire biographique namurois", pp. 82-83.

    >> Albert Devaux (1877-1936), industriel, président de la Chambre de Commerce et d'Industrie de Namur, propriétaire à Wépion et Namur de plusieurs immeubles dont le château "Ferme blanche" àMalonne, avec vingt hectares de terres, fils d'Alfred et Emilie Knops ; il épousa à Namur le 19 juin 1900 Lydie Joly. Voir P.-E. Detry, "Georges Devaux (1869-1932), agent de change à Namur en1900", et P.E. Detry, P.-P. Dupont et D. Franquien, "Archives photographiques namuroises", Beersel, 2000.

    >> François André (1811-1880) (ex matre Wodon), industriel à Namur et propriétaire d'un hôtel particulier rue de Grognon ainsi que de l'ancien hôtel de Marotte, place d'Armes, épousa àLongchamps le 19 décembre 1841 Clémentine Halloy (1815-1885), elle-même grand-tante de Madame Georges Devaux née Louise Laheyne (1878-1956), arrière-grand-tante de P.-E. Detry. Voir : P.-E.Detry, "François-Xavier Rase (1804-1853) ou la vie confortable d'un vrai curé de campagne", in "Le Parchemin", 1995, p. 392 ; P.-E. Detry, "Georges Devaux (1869-1932), agent de change à Namuren 1900", in "Le Parchemin", 2000, pp. 211-221 (avec portrait de François André) ; C. Douxchamps-Lefèvre, "Hôtels de maŒtre à Namur", p. 21.

    >> Ernest Dantinne (1872-1954) (voir : "La descendance des époux Dantinne -Beaufort de 1834 à 1890", sans lieu, 13 octobre 1990), avocat puis magistrat à Namur, président de la Commissiond'assistance publique, membre de la Ligue du Sacré-Coeur et du Conseil de fabrique de l'église Notre-Dame, Prix Blondeau, commandeur de l'ordre de la Couronne, officier de l'ordre de Léopold,épousa à Namur le 25 avril 1905 Claire de Brabant (1880-1942). Dont dix enfants parmi lesquels le Père dominicain Léon Dantinne (1907-1967), professeur de théologie au couvent de La Sarte, curéde Loverval, co-fondateur et prédicateur de la Radio-Télévision religieuse, directeur de la revue "Evangéliser", membre de "Ici Londres", Jean Dantinne (1911-1992), président du tribunal deCommerce de Namur, Gabrielle Dantinne (ø1916) qui épousa à Namur le 25 avril 1938 le colonel B.E.M. Arthur de Ville de Goyet (1910-1987), commandeur de l'ordre de la Couronne, officier del'ordre de Léopold (voir : Emmanuel Joos de ter Beerst, "La famille de Ville de Goyet", Liège, 1984, p. 99), et Marie-Claire Dantinne (ø1918) qui épousa à Namur le 8 septembre 1941 Emile Lebas(ø1915), docteur en médecine, fils d'Emile, magistrat à Mons, président de la conférence de Saint-Vincent de Paul, membre fondateur de la section de Mons des Familles nombreuses, auteurd'environ septante oeuvres littéraires, membre de la commission provinciale et du jury d'art dramatique du Hainaut, prisonnier politique 1914-1918, commandeur de l'ordre de la Couronne,officier de l'ordre de Léopold, croix "Pro ecclesia et pontifice", et d'Augusta Misonne, dont le trisa‹eul Paul-Joseph Misonne (1748-1817) qui épousa Marie Delune, fut le grand-père de LouisMisonne (1823-1896), qui épousa Adèle Pirmez. Voir : Album-souvenir d'Augusta Misonne, épouse d'Emile Lebas, 1883-1976, à l'occasion du centenaire de sa naissance ; Emile Lebas (1871-1952),écrivain montois, sans lieu ni date ; François-Xavier et Vincent Misonne, "Louis Misonne (1823-1896), Ascendance et descendance". .

    >> Alexandre Gerard (1864-1934), avocat à Namur puis greffier en chef du tribunal de 1ère Instance d'Arlon et écrivain bien connu, cousin sous-germain de Rosalie Devaux (1865-1929), bisa‹eulede P.-E. Detry (voir : P.-E. Detry, "Essaimage", p. 83 ; P.-E. Detry, "Vivre au 28-30 rue de la Croix", p. 103).

    Aloys a épousé Marie BOURDILLON le 30 mars 1869 à Namur,5000,,,,Belgique. Marie (fille de Joseph BOURDILLON et Marie-Joseph ELIAS) est née le 24 mars 1847 à Namur,5000,,,,Belgique; est morte le 27 mai 1924 à Namur,5000,,,,Belgique. [Feuille familiale] [Tableau familial]


  2. 9.  Marie BOURDILLON est née le 24 mars 1847 à Namur,5000,,,,Belgique (fille de Joseph BOURDILLON et Marie-Joseph ELIAS); est morte le 27 mai 1924 à Namur,5000,,,,Belgique.

    Notes:

    Membre du tiers ordre de Saint-Dominique, zélatrice de l'Apostolat de la prière.

    Enfants:
    1. Aloys WOITRIN est né le 23 sept 1873 à Namur,5000,,,,Belgique; est mort le 31 déc 1946 à Namur,5000,,,,Belgique.
    2. Marie Josèphe Françoise Constance WOITRIN est née le 22 fév 1881 à Namur,5000,,,,Belgique; est morte le 12 déc 1960 à Namur,5000,,,,Belgique.
    3. Elisabeth Marie Josèphe Ghislaine WOITRIN est née le 23 nov 1882 à Namur,5000,,,,Belgique; est morte le 4 mai 1964 à Tournai,7500,,,,Belgique.
    4. Joseph Constant Ghislain WOITRIN est né le 2 fév 1884 à Namur,5000,,,,Belgique; est mort le 14 juil 1957 à Tienen (Tirlemont),3300,,,,Belgique.
    5. 4. Antoine Jean-Baptiste Joseph Marie WOITRIN est né le 6 sept 1885 à Namur,5000,,,,Belgique; est mort le 22 fév 1968 à Namur,5000,,,,Belgique.

  3. 10.  Henri Pierre Joseph CLERBAUX est né en 1845; est mort en 1936.

    Notes:

    Origine du patronyme Clerbaux - famille alliée notamment aux Schmitz, de Potter (voir : P. E. Detry, "Essaimage", op. cit., p. 101), Colens et Molitor.

    Henri a épousé Joséphine Marie Bernardine Philippine Thérèse CLOQUET en 1878. Joséphine (fille de Norbert CLOQUET et Marie-Thérèse WAUTHIER) est née en 1845 à Templeuve,7520,,,,Belgique; est morte en 1919. [Feuille familiale] [Tableau familial]


  4. 11.  Joséphine Marie Bernardine Philippine Thérèse CLOQUET est née en 1845 à Templeuve,7520,,,,Belgique (fille de Norbert CLOQUET et Marie-Thérèse WAUTHIER); est morte en 1919.

    Notes:

    Origine du patronyme Cloquet - Les Cloquet donnèrent des architectes-professeurs d'université renommés, magistrats, médecins, prêtres, etc. Ils comptent une descendance nombreuse dans lesfamilles Cloquet, Marchand, Delens (voir : J.P. Nandrin, "Les mémoires de Norbert Cloquet, étudiant à l'université d'Etat de Louvain de 1831 à 1835", in "Bulletin trimestriel des Amis del'Université de Louvain", 1974, nø 4 ; "Une famille plus que nombreuse, les Cloquet", in "Courrier de Gand, d'Anvers et d'Ostende", 11 novembre 1988).

    Enfants:
    1. Paul Alexandre CLERBAUX est né en 1879; est mort en 1960.
    2. 5. Louise Marie Rose Norbertine CLERBAUX est née le 6 jan 1881 à Tournai,7500,,,,Belgique; est morte le 24 fév 1955 à Namur,5000,,,,Belgique.
    3. Joseph CLERBAUX est né en 1882; est mort en 1964.
    4. Jeanne CLERBAUX est née en 1885; est morte en 1939.
    5. Henriette Marie CLERBAUX est née en 1887.
    6. Agnès CLERBAUX est née en 1889; est morte en 1892.

  5. 12.  Auguste BIBOT est né en 1865 (fils de Augustin BIBOT et Adéla‹de LEGRAND); est mort en 1927.

    Notes:

    Propriétaire-directeur de l'Institut chirurgical de Namur (1904-1926), rue Pépin (voir : A. Dulière, "Index du Bulletin communal de Namur 1831-1930", sans lieu, 1968, p. 17 ; R. Dejollier, "Unepensée de Namur", 1980, p. 96), chirurgien de l'Hospice Fernand Kegeljan (voir : Namur, revue bimensuelle, juin 1899, p. 143), membre du club nautique de Sambre-et-Meuse, chevalier de l'ordrede Léopold.

    Auguste a épousé Claire MAGERY le 17 juil 1896 à Aachen (Aix-la-Chapelle),,,,,Allemagne. Claire (fille de Jules MAGERY et Thérèse GOLENVAUX) est née en 1873; est morte en 1898. [Feuille familiale] [Tableau familial]


  6. 13.  Claire MAGERY est née en 1873 (fille de Jules MAGERY et Thérèse GOLENVAUX); est morte en 1898.
    Enfants:
    1. 6. Pierre Jules Auguste Ghislain BIBOT est né le 4 mai 1897 à Namur,5000,,,,Belgique; est mort le 31 jan 1982 à Faulx-les-Tombes,5340,,,,Belgique (Neumoulin).

  7. 14.  Achille GENART est né en 1857 (fils de Jean François Charles GENART et Adolphine WINSON); est mort en 1922.

    Achille a épousé Charlotte DOCHEN le 17 sept 1887 à Grand-Hallet,4280,,,,Belgique. Charlotte (fille de Ignace DOCHEN et Félicité DE WONCK) est née en 1865; est morte en 1936. [Feuille familiale] [Tableau familial]


  8. 15.  Charlotte DOCHEN est née en 1865 (fille de Ignace DOCHEN et Félicité DE WONCK); est morte en 1936.

    Notes:

    Voir : Chevalier de Kessel, "La Belgique et sa noblesse officielle et non officielle", p. 64.

    Enfants:
    1. 7. Félicité Marie Odile Ghislaine GENART est née le 11 jan 1902 à Eghezée,5310,,,,Belgique; est morte le 8 déc 1989 à Bruxelles,1000,,,,Belgique.



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